Avec 4 médailles d'or et une médaille de bronze, Léon Marchand a brillé, durant les Jeux Olympiques de Paris 2024. Récemment, il s'est permis de décompresser, suite à ses multiples exploits, s'octroyant alors quelques jours de repos en France, lui qui vit depuis plusieurs années maintenant de l'autre côté de l'Atlantique, et plus précisément à Phoenix, en Arizona, où il profite des conseils du mythique entraîneur Bob Bowman. On l'a par exemple vu à l'avant-première du documentaire Kaizen d'Inoxtag au Grand Rex.
Le nageur originaire de Toulouse, qui a aussi assisté à la parade prévue en hommage aux athlètes tricolores aux Champs-Elysées, est également allé "goûté au soleil des îles grecques, aux platines de David Guetta en boîte de nuit à Ibiza", ont révélé nos confrères du Parisien. Des vacances bien méritées, pour celui qui n'a pas vraiment le temps de se relaxer, d'habitude. D'ailleurs, il s'est épanché sur la rigueur que son métier demande, sur le plateau de Quotidien ce lundi 30 septembre. Révélant alors à Yann Barthès n'avoir pas été toujours irréprochable à ce niveau-là. Et ce parfois malgré toutes ses bonnes intentions : "Quand je suis arrivé en université aux Etats-Unis, j'étais avec tous les étudiants, à la cantine. Je mangeais des frites et des sandwichs tous les jours. Donc pas top..."
Mais rapidement, Léon Marchand a su bien s'entourer, pour remédier à cette mauvaise alimentation : "J'ai vite changer cela. j'ai vu un spécialiste, on a fait des repas adaptés et je mange 5 fois par jours. Des vrais repas. Le matin, du flocon d'avoine, et des féculents, pour essayer de tenir pendant 2 heures. Car j'ai entrainement à 6 heures. Mais j'ai pas faim, à 5 heures du matin...Donc je me force à manger pour tenir l'entrainement jusqu'à 8 heures. Après je mange, je remange, je remange..Et je vais dormir !"
Un sacré programme donc, qu'il s'efforce à tenir, pour rester le plus performant possible et, pourquoi pas, décrocher de nouvelles médailles d'or à Los Angeles, pour les Jeux Olympiques de 2028 ! C'est en tout cas tout le mal que l'on lui souhaite...