Le petit monde des influenceurs est en émoi depuis quelques mois maintenant et les révélations concernant certains d'entre eux, à l'image de Magalie Berdah ou Dylan Thiry, qui se retrouvent dans l'oeil de la justice. Une enquête a ainsi été ouverte et plusieurs personnes aux comptes Instagram très suivis ont été auditionnés ces derniers jours, à l'image de Léna Guillou, comme elle l'a dévoilé dans sa story le 15 mai dernier.
En couple avec le footballeur Adil Rami, la belle brune de 31 ans, qui vit une relation à distance compliquée avec son chéri, s'est fait connaître en participant à des émissions de télé-réalité, comme Les Marseillais à Dubaï. Depuis, elle a su créer une grosse communauté sur les réseaux sociaux et elle compte aujourd'hui plus de 530 000 abonnés sur Instagram et 450 000 sur TikTok. "Ce matin, j'ai été auditionnée dans le cadre de l'enquête sur les influenceurs et je vais vous dire ce que j'ai appris et ce qui va changer sur les réseaux", explique-t-elle en introduction de sa longue explication.
Il y a une relation de confiance avec ma communauté, mais ce n'est pas le cas de tout le monde
Après une explication sur la façon dont les influenceurs doivent avertir leur communauté lorsqu'ils font des contenus sponsorisés, Léna envoie un petit tacle à certains d'entre eux. "Il y a une relation de confiance avec ma communauté, mais ce n'est pas le cas de tout le monde (...) Certains vont obtenir des services gratuitement et leur avis sera biaisé parce qu'ils diront : 'C'est génial, c'est la folie', alors que ça ne l'est pas et qu'ils ont juste eu le truc gratuit et ils sont contents", explique la belle brune.
L'influenceuse évoque ensuite le problème des filtres, qui déforment la réalité et peuvent donner des complexes aux abonnés, mais sur cette question, le flou est encore assez important et elle n'a pas vraiment d'avis tranché. Après cette longue vidéo, Léna Guillou ajoute une autre vidéo (qui est à retrouver dans le diaporama) dans laquelle elle envoie des "balles perdues" aux sujet de certains influenceurs et leurs pratiques parfois douteuses. "C'est comme si, j'avais des prothèses dans les fesses, je vous ai vendu pendant des années des crèmes pour augmenter le volume des fesses en vous disant que c'était ça mon secret magique (...) et là, d'un coup, je vous dis : 'j'ai mes prothèses dans les fesses' et je deviens transparente sur ma vie parce que ça fonctionne. Et bien ça, pour moi, c'est de la fausse transparence et de l'hypocrisie puisque tu surfes sur la vague", conclut-t-elle.