Les derniers agissements du prince Harry envers sa famille ne sont peut-être pas glorieux, mais le papa d'Archie (4 ans) et Lilibet (2 ans) peut être fier d'autres choses qu'il a accomplies par le passé. Et qui sont toujours d'actualité ! On parle notamment des Invictus Games, mettant en compétition des vétérans de guerre et des soldats blessés dont la dernière édition s'est déroulée à Düsseldorf, en Allemagne, il y a quelques semaines, en présence du prince et de son épouse Meghan Markle.
David Wiseman, ami du prince Harry et directeur de la Invictus Games Foundation, s'est confié au podcast A Right Royal Podcast dont le site Hello dévoile un extrait, concernant la mise en place de cet évènement grandiose et très attendu chaque année. C'est en 2014 que les Invictus Games ont vu le jour, et de ce que l'homme raconte, ce n'était pas prévu ainsi à l'origine.
C'est après avoir assisté en mai 2013 au Warrior Games, la version américaine des Invictus Games à l'époque, que le prince a réalisé qu'il voulait développer le même genre de concept mais à l'échelle mondiale. Il en parle alors à ses amis, dont fait partie David Wiseman, pour lancer les Invictus. Sauf que le lendemain de cette prise de conscience, soit quelques heures seulement après avoir évoqué l'idée de pouvoir lancer le même genre de compétition, le prince Harry a annoncé publiquement, sur la scène des Warrior Games, qu'il comptait les lancer dès l'année suivante : "Nous n'avions pas réalisé le délai qu'il avait en tête. [...] Il s'est levé sur scène, sur le podium, et je pense que cela avait été écrit dans son discours, je pense qu'il avait ajouté sa propre note qui disait 'l'année prochaine'."
Il est devenu un voyou
En écoutant le discours du prince Harry, David Wiseman était alors pris de cours, ainsi que les autres amis mis dans la confidence. Tous sont tombés des nues, dénonçant avec humour les méthodes de voyou de leur célèbre copain : "Quoi ? L'année prochaine ?" Malgré les doutes, le stress et la pression après une telle annonce, la bande de copains a réussi l'exploit de tenir sa promesse : "Il est devenu un voyou", raconte David Wiseman avec beaucoup de second degré, dénonçant le fait qu'il n'ait pas prévenu ses copains à l'avance. "Pendant longtemps, nous étions trois ou quatre à la Fondation royale à gérer ce projet. En septembre 2014, nous étions là, au Queen Elizabeth Olympic Park. C'était très juste, mais nous l'avons fait !" Quand Harry veut, Harry peut visiblement.