Au mois d'août prochain, Alessandra Sublet mettra au monde son deuxième enfant, un petit garçon. Mère comblée, femme amoureuse et présentatrice pleine de projets, la pétillante animatrice de France Télévisions s'est confiée, plus zen que jamais, à Paris Match.
Déjà maman d'une petite Charlie, 24 mois, Alessandra Sublet se sent prête à pouponner de nouveau. D'ailleurs, l'ex-animatrice de C à vous ne cache pas qu'elle vit bien mieux cette seconde grossesse. Pas question donc de passer une nouvelle fois par la case baby-blues - elle en avait parlé dans un livre intitulé T'as le blues, baby ? -, la présentatrice est au contraire totalement zen : "Je suis très sereine ! Un bébé est un tsunami dans la vie que j'ai maintenant appris à gérer."
C'est ainsi que celle qui a laissé tomber les quotidiennes pour Fais-moi une place - une émission occasionnelle pour laquelle elle part à la rencontre de personnalités dans leur jardin secret - privilégie sa vie de famille. "La naissance de mon enfant est prévue pour août et je compte bien l'attendre paisiblement, avec mon mari [le producteur Clément Miserez, NDLR] et ma fille", annonce-t-elle.
Du coup, Alessandra Sublet travaille "beaucoup" de chez elle sur son nouveau projet. Un talk-show hebdomadaire pour France 2, tourné du premier étage de la tour Eiffel. Car oui, même si elle tient à profiter de sa famille, Alexandra Sublet n'est pas le genre de femme à cesser de travailler. "Une journée entière à ne m'occuper que de mes enfants serait difficile", admet-elle avant de préciser qu'elle admire les femmes qui y parviennent.
Téméraire, franche et surtout fonceuse, dans la vie, comme dans le travail, Alessandra Sublet a toujours cru en sa bonne étoile. Et quand cette dernière fait des siennes, elle se repose sur sa positive attitude naturelle. "Ce que j'ai aujourd'hui, je l'ai voulu et décidé. J'ai toujours eu cette niaque essentielle pour obtenir les choses. On me mettait à la porte, je revenais par la fenêtre", raconte-t-elle.
Une philosophie qui rend la jolie brunette presque infaillible.
Sarah Rahimipour