Apolline de Malherbe issue d'une famille connue dans la Sarthe et propriétaire d'un château du XVIe siècle

Chaque matin, Apolline de Malherbe est aux commandes de la matinale de RMC, dès 6h30. Puis, deux heures plus tard, la journaliste de 44 ans reçoit un invité politique sur BFMTV pour une interview Face à face. Si elle manie l'art de l'entrevue à merveille, elle met un point d'honneur à toujours garder sa vie privée, privée. C'est ainsi que beaucoup se questionnent sur ses origines, la particule de son nom de famille donnant lieu à diverses hypothèses. Auprès de La Tribune du Dimanche, dans le numéro paru le 31 mars 2024, la charmante brune se livre pour la première fois sans filtre sur sa famille.

"Apolline de Malherbe origines" est une recherche fréquente sur les différents moteurs de recherche. Et cela n'a pas de quoi l'étonner. "Car mon nom dit probablement quelque chose de l'histoire de France", explique-t-elle. Et de préciser son propos, évoquant au passage ses origines : "Je viens d'une famille sarthoise qui habite dans le même village depuis le XIIIe siècle. J'ai été baptisée dans la même église que celle où l'ont été mes aïeux. C'est émouvant." Nos confrères précisent qu'elle est une descendante du poète François de Malherbe. Et d'après Wikipédia, celle qui est née dans le 16e arrondissement de la capitale est la fille de du peintre Guy de Malherbe et de la galériste Marie-Hélène de La Forest Divonne... qui est également annoncée comme propriétaire du château de Poncé, "un manoir style Renaissance construit vers 1542 et situé à une quinzaine de kilomètres de Marçon", dans la Sarthe donc. Une grande partie du château – à l'instar des façades, toitures ou encore jardins potagers – a été classée monument historique entre 1928 et 1999.

C'est donc une belle histoire que celle de la famille d'Apolline de Malherbe, dont le frère Jean est galériste comme leur mère. Mais hors de question pour cette mère de quatre enfants de trop en dire. "Je protège beaucoup ma vie privée et reste très pudique sur mes origines, indique-t-elle. Pas du tout parce qu'elles m'encombrent mais car j'ai peur des fantasmes. Aujourd'hui, on vit dans une époque où l'on veut absolument vous mettre dans des cases et vous ramener à l'endroit d'où vous venez. Or, c'est l'inverse de ce que je souhaite : être une femme libre et émancipée !" Le message est clair.