Ces dernières années, Arthur a quitté la France à plusieurs reprises. Ainsi, l'animateur de 51 ans s'était installé aux États-Unis, à Londres puis en Belgique. Lors d'un récent entretien accordé à nos confrères du Point, le compagnon de Mareva Galanter s'est confié sur ces départs, il a expliqué la manière dont il a géré sa vie de famille.
Arthur, de son vrai nom Jacques Essebag, a confié avoir eu l'impression d'imploser à cause du "trop de boulot, de stress, de lumière, de bruit". "Je courais non-stop sans savoir après quoi", a-t-il lâché. Voilà pourquoi il a décidé de tout plaquer pour s'installer outre-Atlantique et vivre son "rêve américain". Mais, à Los Angeles, tout ne se passe pas comme prévu. "Ça s'est transformé en cauchemar financier", a-t-il ironisé.
Je suis rentré en France après les attentats du Bataclan
Après quoi, l'animateur de TF1 a fait "une grosse dépression" : "J'étouffais en France." Et c'est à Londres qu'il a choisi de prendre l'air. Mais il n'y sera finalement resté qu'un an : "Pour des raisons de sécurité, je suis parti vivre en Belgique." Et d'expliquer le pourquoi de ce choix : "Mon fils cadet est né en Belgique. J'ai donc trouvé un compromis, être à 1h20 de Paris, tout le monde pouvait venir me voir le week-end..." Sur place, Arthur vivait "dans une maison dans la forêt" et faisait du golf. "Ça m'a vraiment vidé la tête", a-t-il avoué.
Enfin, l'ex-époux d'Estelle Lefébure l'assure, sa motivation n'est en rien liée à un quelconque exil fiscal. "Dans mon cas, le fantasme de l'économie fiscale' n'est rien par rapport à ce que ça te coûte quand tu pars vivre à l'étranger loin de ta famille, de tes amis", a-t-il lâché.
Et, le soir du Bataclan, Arthur a ressenti comme un électrochoc : "J'étais à Bruxelles et mes trois enfants à Paris. Je me suis dit : 'Mais qu'est-ce que tu fous là ?'" Quelques mois plus tard, il est finalement rentré au pays. "Je culpabilisais et la France me manquait", a déclaré celui qui se dit "fier d'être un Français dans toute sa splendeur, chauvin, patriote à mort".