Ce mercredi 11 janvier sera officiellement lancée la 34e édition de l'Opération Pièces Jaunes, une mission que prend particulièrement à coeur Brigitte Macron, première dame et présidente de la Fondation Hôpitaux depuis 2019. A cette occasion, elle était l'invitée exceptionnelle de Gilles Bouleau dans le JT de 20 heures de TF1. Un entretien enregistré quelques minutes avant sa diffusion, de manière à laisser Brigitte Macron libre afin d'accueillir au mieux le Premier ministre japonais Fumio Kishida.
Gilles Bouleau a enchaîné les questions concernant cette mission à venir et a naturellement abordé les sujets d'actualité brûlants qui secouent la société. Encore une fois, Brigitte Macron a brillé par son intelligence et sa répartie, par sa prestance et le soutien infaillible qu'elle porte à son époux depuis qu'il a été élu président de la République en 2017. Mais pour autant, loin d'elle l'idée de guider de quelque façon que ce soit le chef d'Etat.
Face à la tempête que provoque la réforme des retraites auprès des Français, Brigitte Macron a joué les médiatrices : "J'entends les critiques. Je les comprends, je comprends tout, mais la seule chose que je ne comprends pas c'est la méchanceté, la violence et le mensonge, ça je ne le comprends pas. [...] Je suis un passeur, je lui passe les messages. Jamais je ne me permettrais 'Fais attention, fais ceci, fais cela', mais je lui transmets."
Il s'adapte aux situations
Si elle n'est pas décisionnaire des réformes, Brigitte Macron est souvent interpellée par les nouvelles générations dont elles croisent la route : "Ce que me disent les plus jeunes (...) c'est 'de toute façon nous, on n'aura pas de retraite'. Donc moi ce que j'ai envie de dire aux jeunes, c'est 'tout est fait pour que vous ayez une retraite'."
En plus de celui des PIèces Jaunes, Brigitte Macron voulait faire passer un message qui lui tenait particulièrement à coeur. Le président restera fidèle à ses engagements jusqu'au bout : "Il s'adapte aux situations, mais fondamentalement il reste celui qu'il a toujours été. Ce second quinquennat, il l'aborde comme le premier, il a commencé sur les chapeaux de roue." Une partenaire de choix, glamour et avec de la poigne, dont Emmanuel Macron aurait bien du mal à se passer !