Si le décolleté de Zahia Dehar a fait le buzz lors de son passage sur le plateau du Grand Journal, le 16 juin, Caroline Ithurbide n'a pas démérité dans Touche pas mon poste, sur D8. Alors, portait-elle des sous-vêtements ou pas ? La chroniqueuse de Cyril Hanouna enflamme la Toile !
Les températures ont grimpé hier soir à la télé. Pendant que la nouvelle égérie de la PeTA captivait tous les regards, faisant oublier à certains la cause animale qu'elle était venue défendre dans le talk-show de Canal+, de son côté, Caroline Ithurbide a soulevé la Toile pendant une séance de limbo dans TPMP. Et ce ne sont pas ses déhanchés qui ont fait jaser mais plutôt son entrejambe. Le sujet : Caroline portait-elle une culotte ? Deux soirs de suite, la belle, nouvel atout charme de l'émission de Cyril Hanouna, a fait parler d'elle pour son anatomie. Après une robe blanche, décolletée, qui a laissé échapper son popotin durant une battle de danse, le 16 juin, le lendemain, c'est dans une tunique jaune et courte que la chroniqueuse, accroupie, a laissé entrevoir son entrejambe pendant une séance de limbo. Pour les internautes, l'enquête était lancée, portait-elle oui ou non des sous-vêtements ?
Hier, l'animateur organisait une séquence Les yeux dans les yeux de ce qu'il a appelé "le culotte gate". Après la diffusion au ralenti de la fameuse scène où l'on aperçoit les fesses de Caroline Ithurbide, en robe blanche, la jolie animatrice d'Adam et Ève a été appelée à la barre. "Hier, je n'avais pas de culotte, j'avais un string. J'avais un string comme 70% de Françaises. Cette séquence n'était pas prévue, je ne savais pas que Gilles Verdez allait me faire un porté. Sérieusement, j'ai été un peu traumatisée par ce plan", expliquait-elle.
Mais ce qu'elle ignorait, c'est que ce traumatisme, elle allait le revivre le soir même !
Sûrement dans le souci de protéger la jeune femme, l'émission TPMP a décidé de couper cette nouvelle séquence "culotte gate" dans le replay d'hier. Mais la question reste entière : cette fois, portait-elle des sous-vêtements ? À suivre...