De retour sur Canal + depuis la rentrée 2012 grâce à la co-présentation du Grand Journal le temps d'une saison au côté de Michel Denisot, Daphné Bürki a fait sa rentrée à l'antenne hier, samedi 14 septembre, dans Le Tube, la nouvelle émission médias hebdomadaire de la chaîne cryptée dont elle tient les commandes. Si l'émission n'a pour l'instant pas égalé les scores du Supplément de Maïtena Biraben l'an passé, en rassemblant pratiquement 3% du public, le programme s'est tout de même offert un démarrage prometteur.
A cette occasion, la compagne de Günther Love a indiqué à nos confrères de Grazia quant à sa consommation personnelle de programmes télé : "En tant que téléspectatrice, je regarde tout, je suis capable de scotcher avec plaisir devant Les Ch'tis à Ibiza". Et d'ajouter quant à sa place dans le paysage audiovisuel : "Je ne fais pas partie d'un quelconque système. Je ne suis pas dans une clique, je ne suis pas particulièrement pote avec les autres animateurs. Je n'ai aucun problème à les recevoir pour leur poser toutes les questions imaginables".
D'ailleurs, que pense Daphné des autres animateurs média ? La présentatrice au ton décalé ne se dérobe pas. "Morandini est un drôle de personnage ? Je l'imagine bien, enfant, à l'école, à toujours lever la main pour être le premier : "Moi, je sais ! Moi, je sais !", plaisante-t-elle. Quant à Cyril Hanouna sur D8, la jolie maman de 33 ans avoue : "Touche pas à mon poste est très réussi, non ?".
Très en verve comme à son habitude, l'animatrice s'est également exprimée sur une des nouvelles stars issues du petit écran : Nabilla. Elle indique à son sujet : "Je l'aime bien, j'étais contente de la recevoir au Grand Journal. Elle a un côté exubérant et cash, à la Almodovar assumé. (...) En revanche, ma fille ne regardera jamais ces émissions !"
Pour finir, Daphné est revenue sur la fin de son aventure à la co-présentation du Grand Journal et sur les coulisses de la décision de Michel Denisot de quitter le navire. "J'y serais toujours si Michel avait continué. Tout s'est fait très vite (...) C'est après les coups de feu à Cannes qu'il a pris la décision de se plonger dans Vanity Fair", explique-t-elle.
Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le magazine Grazia du 13 septembre