La guerre continue entre Charlie Sheen et son ex-femme Denise Richards. Le jour de la fête des Pères, l'acteur américain de 49 ans s'en est violemment pris à la mère de ses filles, Sam (11 ans) et Lola (10 ans), à qui il a reproché de le priver de ses deux enfants.
Dans une série de tweets assassins depuis effacés, l'ancien héros de Mon oncle Charlie s'est attaqué à l'actrice américaine de 44 ans qu'il s'est amusé à comparer à son autre ex-femme, Brooke Mueller, maman de ses jumeaux Bob et Max (4 ans). "Brooke M est une maman rock star que j'adore, a-t-il posté. D Richards est un pathétique porcelet passé de mode qui se couvre de ridicule. Bonne fêtes des Pères !!!" Puis de se faire l'avocat du droit des pères... "J'insiste pour que cessent les mensonges de ce genre de mères qui kidnappent leurs enfants. Qu'on NOUS fasse justice", a-t-il ajouté.
Face à cette nouvelle attaque, la bombe de Significant Mother a su rester digne et calme. "Joyeuse fête des pères @charliesheen et bon voyage au Mexique ! Les enfants étaient très déçus que tu ne sois pas là aujourd'hui. On fêtera ça à ton retour", a-t-elle simplement écrit. L'occasion de rappeler au père de famille que c'était uniquement sa faute s'il n'était pas avec ses filles en ce jour si particulier.
Ce n'est pas la première fois que l'acteur d'Anger Management s'en prend à son ex-femme. Le mois dernier, il l'insultait déjà sur les réseaux sociaux en apprenant qu'elle comptait déménager avec ses deux filles pour se rapprocher de leur nouvelle école. Un éloignement qui n'était pas du goût de l'acteur à qui elle est restée mariée de 2002 à 2006. Pourtant, la jolie Denise Richards a semble-t-il toujours tout fait pour arrondir les angles avec son ex-mari, acceptant notamment de s'occuper de ses deux autres garçons quand son ex-femme Brooke a rencontré de gros problèmes de dépendance au mois de mai 2013.
Histoire de clôturer ce nouvel échange mesquin, Denise Richards a ensuite retweeté le message de sa copine Leeza Gibons qui lui conseillait d'ignorer les gens négatifs. À bon entendeur...
Coline Chavaroche