Le 9 novembre dernier, nous apprenions le placement en garde à vue de Jean-Michel Maire par la brigade des stupéfiants de la préfecture de police de Paris dans le cadre d'une affaire de démantèlement d'un réseau de dealers de cocaïne. Le chroniqueur de Touche Pas à Mon Poste avait passé une dizaine d'heures en garde à vue afin de s'expliquer sur le dossier.
Dès sa sortie de la brigade du 36 quai des Orfèvres, l'acolyte de Cyril Hanouna s'était confié à Closer, déclarant que l'affaire dont il est question "ne date pas d'aujourd'hui", et que s'il avait "été consommateur de cocaïne", ce n'est plus le cas aujourd'hui.
Parce qu'elle est une amie proche de Jean-Michel Maire, et que son nom apparaissait dans des relevés téléphoniques, Enora Malagré a, elle aussi, été entendue par la brigade des stupéfiants, comme le révèle Closer ce mercredi 16 novembre. Ses déclarations ont été recueillies le même jour que celles de Jean-Michel Maire, le 8 novembre, alors qu'elle témoignait sous le régime de l'audition libre, soit en qualité de simple témoin.
Contactée par le magazine, la chroniqueuse de 36 ans au caractère bien trempé a tenu à préciser que lors de son entretien avec la brigade des stupéfiants de la préfecture de police de Paris elle n'était liée avec Jean-Michel Maire que pour son amitié pour lui, et rien d'autre. "Je n'ai pas été entendue pour les mêmes raisons que Jean-Michel Maire. J'ai été appelée pour parler de mon ami. Ça n'a rien à voir avec ce qui touche de près ou de loin les stupéfiants. Je n'ai pas fait de garde à vue, je n'ai pas été inculpée de quoi que ce soit. Je suis la meilleure amie de Jean-Michel et il se trouve que j'ai pu lui en parler, moi, dans la vie, en le mettant en garde sur des choses...." s'explique-t-elle.
Contrairement à son partenaire de TPMP, Enora Malagré certifie qu'elle n'a pas approché les trafiquants, ni leurs produits : Je ne suis pas concernée de manière personnelle par cette affaire et je ne suis pas consommatrice non plus. J'aide un ami."
Alliée fidèle de Jean-Michel Maire, Enora Malagré n'hésite pas à prendre sa défense dans l'affaire de son dérapage dans Les 35 heures de Baba le mois dernier. Le chroniqueur avait embrassé la poitrine d'une jeune femme sans l'accord de celle-ci. "En sept ans, je n'ai jamais vu Jean-Michel Maire comme ça. Il s'est retrouvé à fondre en larmes en direct. Ca a été très dur, on a vu à l'antenne qu'il était meurtri. Ça a été une grande blessure personnelle. Personne ne mérite d'être caillaissé comme ça en place publique", affirme la chroniqueuse qui estime que son geste relève du "sexisme, mais en aucun cas une agression sexuelle."