Le début de semaine doit être particulièrement compliqué à gérer pour Fabien Galthié. Le sélectionneur du XV de France vient tout juste de voir son équipe éliminée de la Coupe du monde de rugby par l'Afrique du Sud. Une énorme désillusion pour les Bleus, qui espéraient bien soulever le seul trophée qui manque au rugby français, d'autant plus à la maison. Un rêve qui s'est écroulé pour un seul petit point d'avance en faveur des Springboks. Après la rencontre, les joueurs semblaient très touchés, à l'image du capitaine Antoine Dupont, qui s'est effondré dans les bras de sa mère.
Très soutenus par le Stade de France et les nombreuses personnalités venues, à l'image d'Helena Noguerra, déchainée en tribunes, les Bleus n'ont pas réussi à atteindre la finale et quittent la compétition à l'issue des quarts. Si la déception était grande pour Fabien Galthié, elle a également dû l'être pour son fils, Mathis. Le jeune homme de 21 ans est également un passionné de rugby, sport qu'il pratique à un niveau professionnel au sein de l'US Colomiers, qui évolue en Pro D2, soit l'équivalent de la seconde division. Actif sur Instagram, le beau brun a repartagé une photo de lui dans sa story (qui est à retrouver dans le diaporama) sur laquelle on peut le voir en pleine séance de musculation. Visiblement, la tristesse de l'échec des Bleus a vite été digérée par le fils du sélectionneur.
Sur le cliché, on peut voir Mathis Galthié soulever des poids qui sont censés faire 65 kg. Une petite blague de la part du jeune rugbyman puisqu'ils font en réalité 17,5 kg. "Muscu sourire", écrit le petit farceur, visiblement bien content de sa blague. Le fils de Fabien Galthié est actuellement en pleine rééducation, lui qui traverse une période difficile après un gros coup dur. Il y a deux semaines, il annonçait la rechute d'une blessure. "Et merde, on y retourne une nouvelle fois...", écrivait-il, visiblement très déçu.
Mais pas le temps de tergiverser pour Mathis Galthié, qui a rapidement repris l'entraînement. On imagine que celui qui évolue au poste de demi d'ouverture, tout comme son père à l'époque, a certainement pu réconforter son paternel après la grosse désillusion de dimanche, en espérant que les Bleus puissent aller au bout dans 4 ans en Australie.