Depuis 2020, Frédéric Diefenthal prête ses traits à Antoine Myriel, dans la série à succès de TF1 Ici tout commence. L'histoire se déroule dans le prestigieux institut de gastronomie Auguste Armand, un univers que l'acteur de 55 ans connaît bien.
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, être acteur n'a pas été une évidence pour Frédéric Diefenthal. Il s'est en effet beaucoup cherché avant de se retrouver sur scène ou des plateaux de tournage. A l'occasion d'une interview pour Télé 7 Jours (édition du 22 avril 2024), le journaliste a rappelé que le papa de Gabriel (19 ans, fruit de son ancienne union avec Gwendoline Hamon) et Solhan (né en 2018 de son union avec Stéphanie) avait fréquenté une école hotellière avant d'être comédien. "Bien sûr ! J'ai fait un apprentissage à 14 ans, au cours duquel j'ai appris le service en salle, la pâtisserie, la cuisine. J'ai même tenu un restaurant avec mon frère et ma belle-soeur, dans notre village natal du Gers", a-t-il confié dans un premier temps.
Frédéric Diefenthal a ensuite expliqué qu'il a tenté d'évoluer dans des univers complètement différents : "Je me suis longtemps cherché : avant de prendre des cours de théâtre, j'ai fait un apprentissage de coiffure et j'ai failli me lancer dans l'ébénisterie."
Mais le destin l'a finalement mené vers le chemin de l'acting. Il a fait ses débuts dans des spots publicitaires ou des apparitions dans des séries, à partir de 1990. Son premier grand rôle était celui de Colas dans Le Juge est une femme (1993-2000). Il a aussi connu le succès au cinéma avec la saga Taxi, dans laquelle il incarnait le policier maladroit Emilien. Outre ses nombreux rôles au cinéma ou à la télévision, il a aussi eu le bonheur de jouer dans plusieurs pièces de théâtre.
A chaque projet, ses fans sont au rendez-vous. Une fidélité qui touche beaucoup Frédéric Diefenthal. "Je suis toujours touché par la fidélité des spectateurs, qui achètent leurs places de théâtre ou au cinéma, appuient sur le bouton de la télé pour se brancher sur le programme où vous êtes. C'est un cadeau. C'est pourquoi je ne refuse jamais de faire un selfie ou un autographe. Nos employeurs, ce sont eux", a-t-il conclu.