George de Cambridge, les photos de ses 3 ans : l'histoire de sa balançoire...

D'ordinaire, il ne faut pas longtemps, après la publication de photographies de la famille du duc et de la duchesse de Cambridge, pour que les moindres détails en soient disséqués.

Vendredi 22 juillet, à peine les nouveaux portraits du prince George, réalisés quelques jours plus tôt dans le jardin de la maison familiale d'Anmer Hall, avaient-ils été diffusés dans le cadre de son 3e anniversaire que, déjà, les internautes s'emballaient quant aux dangers de donner de la glace à un chien (le garçonnet est immortalisé en train d'en tendre à Lupo, le cocker de la famille) et s'arrachaient ses vêtements trop cute (son pull à rayures Pepa & Co, son T-shirt à rayures Sunuva...). Mais quid de l'autre détail mignon de cette séance photo dirigée par Matt Porteous, lauréat du Prix du photographe de l'année 2014 dans la catégorie mariage ?

Impossible de passer à côté : sur deux des quatre clichés divulgués, George - qui a été "pourri gâté", selon son père - fait de la balançoire, tantôt assis, tantôt debout, et on peut distinctement lire ou deviner sur la tranche de l'assise en bois de chêne l'inscription "William & Catherine". Et pour cause : il s'agit d'un cadeau de mariage qui a été conçu spécialement pour le duc et la duchesse de Cambridge à l'occasion de leurs noces célébrées le 29 avril 2011. Pour la fondatrice, directrice et designeuse de la discrète petite entreprise familiale du Kent qui a réalisé cette balançoire en bois d'une valeur légèrement supérieure à 300 euros, The Oak & Rope Company, c'est une consécration inattendue : "J'ai appris la nouvelle lorsqu'un journaliste a appelé pour dire qu'il avait vu une photographie du prince George sur une balançoire en bois et demander si c'était une des nôtres. J'ai répondu que ça l'était certainement, vu que je sais qu'il en a une", a tout simplement expliqué Jeanette Aurdal Nieman au magazine Hello!. Le journaliste a continué en disant qu'il me trouvait bien calme et que si j'avais vu les photos, qui étaient partout... Je courais un peu pour faire les valises pour nos vacances familiales, alors non, je ne les avais pas vues..."

"Ravie", quelques moments plus tard, de voir la balançoire dans les portraits du prince George, l'intéressée, visiblement pas le genre à s'emballer, a ensuite confié qu'il y a bien eu, comme pour tout ce que touchent les Cambridge, un "regain significatif" de commandes - mais "rien à quoi nous ne puissions faire face", tempère Jeanette. Elevée en Norvège et décidée dès son plus jeune âge à devenir charpentière, elle n'avait d'ailleurs pas cherché à se faire de publicité, contrairement à tant d'autres, avec la balançoire fabriquée pour le "mariage du siècle" : "Même si nous étions alors une toute petite et toute jeune société, j'ai pris la décision en mon âme et conscience de n'en parler à personne et c'est ce que j'ai clairement fait savoir à tous ceux qui travaillent pour Oak & Rope, s'est remémorée l'entrepreneuse. C'était un cadeau personnel et il nous a semblé que cela méritait de rester privé."

Une discrétion qui l'honore et qui a dû être particulièrement appréciée par le duc et la duchesse de Cambridge, qui ont fait de leur propriété d'Anmer Hall un sanctuaire pour leurs enfants George et Charlotte.