Géraldine Nakache lors du Champs-Elyées Film Festival 2013 à Paris le 13 juin 2013© BestImage
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Armée de son talent, de son regard mutin et de son sourire contagieux, Géraldine Nakache s'est fait une place au soleil. Second rôle pétillant du cinéma, elle a passé la vitesse supérieure en coréalisant Tout ce qui brille, offrant un rôle en or à celle qui est depuis devenue son amie Leïla Bekhti (César du meilleur espoir). Depuis, elle a réalisé Nous York et joué dans les succès Sur la piste du Marsupilami et Les Infidèles. Derrière le visage respirant le bonheur de cette artiste se cache également une femme amoureuse.
Géraldine Nakache dévoile dans son portrait pour Libération quelques informations sur sa vie sentimentale, ne s'attardant pas sur le sujet : "Non, il n'est pas dans le cinéma ; oui, je suis très contente. Mais là, j'ai pour projet d'un peu dormir." Elle a précédemment été en couple avec Manu Payet, "auquel elle a été mariée pendant deux ans dans une vie commune de dix", précise le quotidien, qui en profite pour donner son avis sur le mariage pour tous : "Tant mieux, qu'ils galèrent comme nous !"
Au travers de l'article de Libération, on en apprend davantage sur cette jeune femme de 33 ans qui carbure au travail et à l'enthousiasme. Élevée à Puteaux dans les Hauts-de-Seine dans une famille juive séfarade "cool" avec un père directeur des ressources humaines dans le secteur informatique et une mère secrétaire-comptable, elle soulignera l'influence de son frère de sept ans son aîné, Olivier Nakache, coréalisateur avec Eric Toledano du carton des Intouchables : "S'il avait fait opticien, j'aurais sans doute fait opticienne. [...] On ne se raconte pas nos histoires d'amour ou nos soucis, mais ça va très vite entre nous."
Elle déborde d'idées, elle a la tchatche. Géraldine Nakache va vite, très vite. Pierre Lescure, le dénicheur de talents, ancien président directeur général du groupe Canal+, est son maître. D'elle, il dira : "[Elle a] une attention aux autres tout en étant très déterminée, sachant prendre des risques." L'ex-Nuls Dominique Farrugia l'aime beaucoup aussi : "Elle est super bankable, elle peut tout jouer." Elle rayonne également en couverture des magazines, dernièrement celle de Biba.
Passer donc de la comédie Je fais le mort avec François Damiens au drame sur fond d'assassinat d'Ytzhak Rabin en 1995, Atlit, avec Judith Chemla et Yaël Abecassis : "Je n'ai pas un avis très précis sur la situation et de toute façon, je ne le donnerais pas. Mais en tout cas, c'est pas mal de voir de tes propres yeux, par rapport à ce que montre le JT." Elle parlera aussi politique, elle qui a voté Hollande au second tour, mais Sarkozy au premier en 2012 : "Sarkozy, je trouvais qu'il s'exprimait bien, qu'il avait du charisme... Poussé à l'extrême, ça donne Céline Dion, ça me fascine... Il y a de la fiction chez ces gens-là."
"Je fais le mort", en salles le 11 décembre
Géraldine Nakache dévoile dans son portrait pour Libération quelques informations sur sa vie sentimentale, ne s'attardant pas sur le sujet : "Non, il n'est pas dans le cinéma ; oui, je suis très contente. Mais là, j'ai pour projet d'un peu dormir." Elle a précédemment été en couple avec Manu Payet, "auquel elle a été mariée pendant deux ans dans une vie commune de dix", précise le quotidien, qui en profite pour donner son avis sur le mariage pour tous : "Tant mieux, qu'ils galèrent comme nous !"
Au travers de l'article de Libération, on en apprend davantage sur cette jeune femme de 33 ans qui carbure au travail et à l'enthousiasme. Élevée à Puteaux dans les Hauts-de-Seine dans une famille juive séfarade "cool" avec un père directeur des ressources humaines dans le secteur informatique et une mère secrétaire-comptable, elle soulignera l'influence de son frère de sept ans son aîné, Olivier Nakache, coréalisateur avec Eric Toledano du carton des Intouchables : "S'il avait fait opticien, j'aurais sans doute fait opticienne. [...] On ne se raconte pas nos histoires d'amour ou nos soucis, mais ça va très vite entre nous."
Elle déborde d'idées, elle a la tchatche. Géraldine Nakache va vite, très vite. Pierre Lescure, le dénicheur de talents, ancien président directeur général du groupe Canal+, est son maître. D'elle, il dira : "[Elle a] une attention aux autres tout en étant très déterminée, sachant prendre des risques." L'ex-Nuls Dominique Farrugia l'aime beaucoup aussi : "Elle est super bankable, elle peut tout jouer." Elle rayonne également en couverture des magazines, dernièrement celle de Biba.
Passer donc de la comédie Je fais le mort avec François Damiens au drame sur fond d'assassinat d'Ytzhak Rabin en 1995, Atlit, avec Judith Chemla et Yaël Abecassis : "Je n'ai pas un avis très précis sur la situation et de toute façon, je ne le donnerais pas. Mais en tout cas, c'est pas mal de voir de tes propres yeux, par rapport à ce que montre le JT." Elle parlera aussi politique, elle qui a voté Hollande au second tour, mais Sarkozy au premier en 2012 : "Sarkozy, je trouvais qu'il s'exprimait bien, qu'il avait du charisme... Poussé à l'extrême, ça donne Céline Dion, ça me fascine... Il y a de la fiction chez ces gens-là."
"Je fais le mort", en salles le 11 décembre