L'année 2024 de Philippe Katerine a été à l’image du personnage, complètement inattendue et originale. Si certaines stars étaient attendues pour la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris, à l’image de Lady Gaga ou Céline Dion, la présence du trublion de la chanson française a été une réelle surprise pour tout le monde. Arrivé tout de bleu vêtu, le compagnon de Julie Depardieu, avec qui il a deux garçons, Billy et Alfred, a fait énormément parler en présentant en exclusivité mondiale, l’un des titres de son dernier et quinzième album studio, Zouzou.
Ce mardi 7 janvier, Philippe Katerine était l’invité de Mouloud Achour sur Canal+ pour parler de cette année pas comme les autres qui n’a pas franchement bien commencé. En pleine préparation pour l’album Zouzou, l’artiste dont la fin de sa vie est planifiée avec un surprenant projet en préparation, ne se sentait pas vraiment dans son assiette et “broyait du noir” depuis un petit moment. “Une semaine après (l’écriture de la chanson Chez Philou, sur l’album Zouzou, ndlr), j’étais sur le billard, parce que j’avais des calculs rénaux”, lance-t-il dans l’émission Clique. Une maladie particulièrement douloureuse, “en constante augmentation” et qui toucherait 10% de la population française, d’après les informations de l’American Hospital of Paris.
“En fait, mon sang était carrément infecté, donc j’allais passer dans le grand pays blanc, complètement”, insiste celui qui a été malmené en pleine rue devant ses deux enfants, qui affirme qu’il aurait pu y passer s’il n’avait pas été pris en charge à temps. “J’ai été opéré d’urgence, j’allais y passer carrément”, insiste-t-il, avant d’en dire plus sur les calculs rénaux : “C’est quelque chose de terrible. T’as pas besoin d’être fort en mathématique (pour en avoir), il suffit de manger salé et sucré à haute dose. Moi, ça m’est arrivé à 18 ans aussi et ça te fait un mal de chien.”
Et visiblement, si la plupart des personnes n’en meurt pas, pour Philippe Katerine les choses auraient pu s’aggraver. “Faut pas traîner, parce que moi, mon sang s’est carrément infecté. Après, ils m’ont mis une sonde pour nettoyer tout ça”, précise le chanteur dont le cousin est une personnalité politique de premier rang. Désormais, fini le fromage et la charcuterie pour l’artiste, qui garde malgré tout le moral. “Mais bon, c’est comme tout, on s’adapte et puis on trouve qu’il y a bien des avantages à des inconvénients”, philosophe-t-il.