C'est une nouvelle célébrité qui vient d'être victime d'un home-jacking. Il s'agit du chef Jean-François Piège. En effet, d'après les informations d'Actu 17, trois individus se sont introduits à son domicile parisien ce vendredi 26 janvier, avant de prendre la fuite avec un butin dont la valeur n'a pas été dévoilée. Ils ont quitté les lieux après avoir "entièrement fouillé" le domicile, avec des bijoux et des montres de luxe. Ils ont également ligoté la nounou présente sur place. C'est cette dernière d'ailleurs qui a averti les autorités, après avoir réussi à se détacher suite au départ des trois cambrioleurs. La police s'est alors immédiatement rendue sur place, avant donc de constater qu'un nouveau cas de home-jacking venait effectivement de se produire. Impossible en revanche de savoir si les deux enfants de Jean-François Piège étaient présents au domicile lors de l'intrusion des malfaiteurs.
Car oui, rappelons que plusieurs personnalités ont été cambriolées dernièrement, à commencer par Bruno Guillon, l'animateur de Fun Radio. Il s'était retrouvé séquestré avec sa femme et leur enfant par les malfaiteurs le temps du cambriolage. "On m'emmène dans la chambre de mon fils en me disant que si jamais je fais quoi que ce soit on va me tuer. Puis je vois ma femme, ils l'emmènent dans le couloir (...) Et là, on reste enfermés pendant ce qui sera, je pense, les 30 minutes les plus longues de ma vie"", avait-il raconté avec émotion sur les ondes de RTL, après cette expérience qui, on l'imagine, a dû être très traumatisante pour lui et sa famille.
Quelques semaines plus tard, c'est Vitaa qui subissait le même sort. Elle, son mari Hicham Bendaoud et leurs trois enfants avaient été séquestrés et cambriolés, chez eux à Rueil Malmaison dans les Hauts-de-Seine. Elle se réfugiait ensuite à la montagne avec les siens, pour prendre du recul sur la situation et se remettre tout doucement de ce choc. Depuis, les cambrioleurs, déjà défavorablement connus des services de police, ont été retrouvés. Ils ont été déferrés devant un juge d'instruction puis placés en détention provisoire.