Julie Gayet, ravissante complice de l'heureux papa Tomer Sisley

Le cinéma était à la fête au sein du Social Club à Paris au cours de la remise des prix du festival Close-up, qui sacre les jeunes talents du Septième Art. Au cours d'une soirée intitulée Take It Irish, organisée par MK2 et la marque de whisky Jameson, les artistes se sont croisés dans une ambiance cinéphile et agréable, le 7 juin 2011.

Pour déterminer les gagnants, un jury a été mis en place avec la présence de Ludivine Sagnier et Julie Gayet, vues au festival de Cannes, respectivement pour la présentation des Bien-aimés de Christophe Honoré, et comme membre du jury Courts métrages. Elles ont collaboré avec l'heureux papa d'un second enfant, Tomer Sisley, connu également en tant que Largo Winch, le DJ/producteur Pedro Winter, et la journaliste Stéphanie Lamome, que les lecteurs du magazine Première connaissent bien.

Et les prix des meilleures révélations ont été remis à... Valérie Donzelli, à l'affiche de Pourquoi tu pleures ? et à Raphaël Personnaz (La Princesse Montpensier). Ce dernier a retrouvé avec plaisir Virginie Efira, sa partenaire dans la romance pétillante La Chance de ma vie . Le prix du meilleur court-métrage est revenu à Vincent Vizioz pour Tremblay-en-France et celui du meilleur premier film étranger à Pedro Gonzales-Rubio pour Alamar. Quant au Grand Prix MK2, c'est Rebecca Zlotowski, déjà détentrice du prix Louis-Delluc du premier film, qui l'obtient pour Belle Epine, oeuvre mettant en scène Léa Seydoux. Enfin, le Prix d'honneur à un Film Irlandais sélectionné par le Jameson Dublin International Film a été décerné à Darragh Byrne pour Parked.

Qui dit Irlande, dit vert, et la couleur de l'espoir a décoré la soirée où on pouvait se trémousser non loin de Francis van Listenborg (comparse d'Edouard Baer), Elisha Karmitz, directeur de la publication de Trois Couleurs, le magazine des cinémas MK2, son frère le producteur Nathanaël Karmitz, Ora-Ito ou encore Nicolas Bedos, auteur qui a signé les textes de Mélanie Laurent, maîtresse de cérémonie du festival de Cannes.

Pour que la nuit soit vibrante, Pedro Winter, puis Boombass du duo Cassius, ont offert chacun un set surprenant aux accents hip-hop, rock et disco pour le plus grand plaisir des noctambules cinéphiles.