Elle a beau jouer les beautés rebelles et glaciales sur tapis rouge, en réalité, Kristen Stewart n'est pas si mystérieuse que cela. D'ordinaire plutôt réservée, l'actrice de 23 ans s'est longuement livrée au magazine Marie Claire américain dont elle fait la couverture, glamour et radieuse en Emilio Pucci.
La star de Twilight y ouvre en effet les portes de son intimité et se dévoile en profondeur. Car finalement, qui se cache derrière le masque de Kristen Stewart ? En réalité, une jeune femme de son temps qui n'a pas froid aux yeux et profite de la vie à 100%, sans trop se poser de questions. Célibataire depuis sa rupture mouvementée avec Robert Pattinson, qu'elle a trompé de façon très médiatique avec le réalisateur Rupert Sanders.
Si cette histoire de fesses l'a totalement décrédibilisée, du moins sentimentalement, aux yeux du monde, Kristen Stewart a cependant des idées bien arrêtées sur l'amour et les relations. "On ne sait jamais de qui on va tomber amoureux. C'est impossible. Cela ne se contrôle pas. Vous allez tomber sur des gens qui vont avoir un petit quelque chose de différent, vous allez vous dire 'je fonce pour ça', confie ainsi la star à Marie Claire. Personnellement, je ne me mets pas la pression. Quand on tombe amoureux de quelqu'un, on veut à tout prix posséder cette personne, mais pour quoi faire, au fond, vraiment ? Vous voulez qu'ils soient ce que vous, vous aimez. Je suis trop jeune pour avoir même la réponse à cette question."
En attendant, la jolie brune se consacre autant que faire se peut à sa carrière d'actrice mais aussi de fashionista (elle est la nouvelle égérie Chanel). Même si, de ses propres confidences, ses choix dans ce domaine ne sont pas toujours forcément ultra-réfléchis, cela n'est pas vraiment une surprise : Kristen Stewart fonctionne à la spontanéité et au coup de coeur. "Je ne sais pas trop ce que je fais et c'est ce que j'adore au fond. Je ne savais pas que Twilight serait un tel succès. Et puis je pensais que d'autres films cartonneraient, mais au final non, livre-t-elle. C'est assez marrant de ne pas avoir le contrôle. Je vis un peu en mode 'accrochez-vous à vos pantalons'. C'est put**n d'effrayant mais c'est ça qui est bon. On peut essayer de prendre une décision parce que ça fait bien sur le papier, mais si on ne ressent pas cette peur dérangeante, c'est que ça n'est pas une bonne chose."