Laura Smet fera prochainement ses débuts sur les planches, au théâtre, dans la pièce Le Principe d'incertitude, de Simon Stephens, dans laquelle elle donne la réplique à Jean-Paul Daroussin. L'occasion pour elle de revenir et s'afficher dans les médias pour en faire la promo. Toujours discrète, elle accepte néanmoins d'évoquer sa nouvelle vie de maman d'un petit garçon baptisé Léo, né le 7 octobre 2020 de son mariage avec Raphaël Lancrey-Javal, comme ce vendredi 9 septembre dans les colonnes de Madame Figaro. La fille de Johnny Hallyday et de Nathalie Baye confie : "Depuis que j'ai eu mon fils, je sais aussi que l'essentiel est ailleurs : j'aime profondément ce métier, mais cela doit rester du jeu, du plaisir."
Ainsi, ses angoisses se sont déplacées. Celle qui s'apprête à incarner Georgie Burns, une quadra exaltée, "écorchée vive", qui rencontre Alex, un septuagénaire discret et solitaire, se livre. "Mes angoisses profondes sont d'avantage liées au bien-être des miens, à l'avenir de mon enfant et des futures générations : pourront-ils toujours voir la neige et se baigner dans l'océan ?", s'interroge Laura Smet. "Quand on devient mère, le centre de sa vie se déplace, affirme-t-elle. On relativise d'avantage sur le reste." Et pour lui, elle ne refusera jamais de se battre. "Je n'avais pas d'autres choix que de me battre pour mon bien-être, ma vie future, celle de mon fils, celle de ma famille", déclare-t-elle. Ce n'est pas la première fois que la comédienne de 38 ans se livre ainsi sur son enfant. Dans Version Femina, elle avait récemment fait savoir que lui et son époux, avec lequel elle s'est mariée civilement en décembre 2018 puis religieusement, au Cap Ferret, en juin 2019, étaient sa priorité.
"Je n'ai besoin que de mon fils et de mon mari pour être heureuse, a--confié. Le reste, le cinéma, les rôles, c'est du bonus. Et il faut accepter qu'une carrière d'actrice soit faite de hauts et de bas. Etre maman m'a ramenée à l'essentiel. C'est sans doute pour ça que j'ai eu envie de théâtre, c'est aussi l'essence même de ce métier." Pour Léo donc, elle est prête à faire toutes ces concessions. "Je suis contente que mon enfant soit arrivé après tout ce qu'il s'est passé. La seule chose qui compte pour moi, c'est que mon fils soit heureux, et je ferai tout pour que le dialogue ne soit jamais rompu entre nous, a-t-elle ainsi poursuivi. J'apprends chaque jour à son contact, j'essaie de m'améliorer. Par exemple, je suis une grande flippée des départs mais, comme je ne veux pas lui transmettre cette angoisse, je m'oblige à transformer ces moments de stress en grandes joies."