Suite à son divorce avec sa première femme Betty - décédée d'un cancer en 2015 - Laurent Voulzy a vécu une belle histoire d'amour avec la comédienne Véronique Jannot. C'est en 1987 qu'il rencontrait celle qui allait devenir sa seconde épouse : la journaliste Mirella Lepetit qui travaillait à l'époque pour le magazine Télé Poche. Longtemps amis, ils ont finalement décidé de laisser une chance à leur amour et s'étaient mariés en 2010 lors d'une sublime cérémonie à Saint-Pierre-Quiberon, dans le Morbihan. "On est deux grands bavards et depuis qu'on se connaît, nos grandes conversations tournent autour de l'existence de Dieu (...) C'est l'homme le plus charmant de la Terre et c'est moi qui l'ai", disait-elle à propos de leur idylle.
Papa de Julien Voulzy - qui a formé le groupe Les Cherche Midi avec Pierre Souchon - et de Nicolas, alias Lieutenant Nicholson (fruits de son premier mariage avec Betty), l'interprète des titres Belle-ile-en-mer et L'amour est un oiseau est devenu papa de deux garçons avec sa seconde épouse : Quentin Voulzy né en 2002 - qui fait ses études en Angleterre - et Cliff. En 2019, le chanteur avait révélé quelques informations concernant Quentin aux journalistes du magazine Paris Match. Passionné de guitare comme son papa, le jeune homme "suit des cours dans une école de musique" et "fait des maquettes toute la journée".
Je ne l'ai jamais caché
Concernant Cliff, le musicien est beaucoup moins bavard. Très préservé des médias par ses parents, Laurent Voulzy a pourtant nié toute volonté de le cacher aux journalistes. "C'est Cliff. Je ne l'ai jamais caché, mais j'ai demandé qu'on ne me parle plus de ma vie privée. Je ne suis pas très à l'aise avec ça", avait-il sobrement répondu en 2017.
En octobre 2021, Laurent Voulzy a annoncé sa séparation avec Mirella Lepetit au cours d'un portrait auprès des journalistes de Libération. "Ce père de quatre garçons [l'identité du dernier a été révélée tardivement, NDLR], tous musiciens, qui a vécu longtemps en Angleterre, avant une récente séparation, reconnaît une affection transie pour... la reine Elisabeth", pouvait-on ainsi lire dans le magazine.