Rien ne va plus au nouveau Grand Journal de Canal+, présenté par Maïtena Biraben. Les mauvaises audiences et les bad buzz s'enchaînent tandis que la communication de crise et les réajustements ne parviennent pas - pour l'instant - à redresser la barre.
L'émission étant plus que jamais sous le feu des critiques depuis que Vincent Bolloré a repensé la grille de Canal, Maïtena Biraben essaie tant bien que mal de faire tampon. Après s'être exprimée dans L'instant M sur France Inter le 1er octobre, l'animatrice de 48 ans serait désormais omniprésente dans la fabrication de l'émission... Une attitude qui inquièterait son entourage.
Interrogé par nos confrères du magazine Closer, un membre de l'équipe a affirmé que Maïtena serait passée en mode "guerrière" seule contre tous : "Maïtena se comporte comme la productrice - et non l'animatrice - de l'émission. Elle refuse beaucoup de sujets et tient à valider tout ce qui passe à l'antenne." Et de poursuivre sur les relations de l'animatrice avec son équipe de chroniqueurs : "Les tensions avec Lauren Bastide sont connues. Avec Augustin Trapenard et Victor Robert, ce n'est pas top non plus. Il n'y a qu'avec Cyrille Eldin, qui est un ami de Maïtena, que ça se passe bien."
Résultat des courses, nombreux sont ceux qui auraient peur que l'animatrice craque d'un moment à l'autre, et peut-être même devant la caméra. "Elle est à fleur de peau, passe du rire aux larmes en un instant. A tel point que plus personne n'ose lui parler dans l'oreillette. La vérité, c'est qu'on redoute qu'un jour, elle pète un plomb en direct et qu'elle quitte le plateau...", a également expliqué ce membre de l'équipe.
Quel avenir pour le Grand Journal dans ces conditions ? L'émission (régulièrement battue par Secret Story sur NT1 et même par la chaîne jeunesse Gulli) sera-t-elle déprogrammée dans les semaines qui viennent ? Maïtena assurait le 1er octobre dernier avoir l'entière confiance de la direction de la chaîne. "Ce n'est pas facile de travailler dans ce contexte, mais je vais le faire, on va continuer à le faire avec envie. J'ai le soutien de la direction, mais je ne suis dans la tête de personne, ils feront ce qu'ils veulent. Je suis désolée pour les peine-à-jouir, mais on est content de le faire", avait-elle lâché sans langue de bois.