C'est l'un des couples les plus célèbres du cyclisme et, cette année encore, Marion Rousse et Julian Alaphilippe font beaucoup parler d'eux sur cette édition 2023 du Tour de France. Pour le cycliste de 31 ans, il y a eu de meilleures années et, pour le moment, il n'a pas vraiment brillé, mais ses problèmes de l'an dernier et notamment une très lourde chute pèsent certainement sur ses performances. De son côté, l'ancienne coureuse reconvertie en consultante de talent chez France Télévisions fait vivre la course au côté de Laurent Jalabert depuis plus de deux semaines maintenant.
Un couple forcément très occupé pendant cette période, d'autant plus qu'ils ont un petit garçon prénommé Nino, âgé de 2 ans. Cette année, Marion Rousse a eu la chance de pouvoir l'amener pour la première fois sur le plateau du Tour de France et sa présence a beaucoup amusé les téléspectateurs. Avec un père et une mère cyclistes, il y a de bonnes chances pour que le jeune garçon soit doté d'un talent naturel pour le vélo. Et si l'on en croit la dernière photo partagée par la consultante de 31 ans sur Instagram (qui est à retrouver dans notre diaporama), elle aimerait bien que ce soit le cas. Sur la photo, on peut voir voir une pancarte installée sur les bords de la course sur laquelle on peut lire : "2020's : Le jaune à Julian. 2040's : Le Tour à Nino."
Un joli message qui a visiblement bien plu à Marion Rousse. Elle espère certainement qu'après avoir vu son chéri endosser le maillot jaune sur la Grande Boucle, elle aura un jour le bonheur de voir son petit Nino remporter la plus prestigieuse des compétitions cyclistes ! Pour l'heure, on est encore bien loin de toutes ces considérations et il faudra encore attendre un bon nombre d'années avant de voir le blondinet sur un vélo, mais avec de tels gènes, il y a des chances pour qu'il soit très à l'aise.
Une arrivée de Nino qui ferait du bien au cyclisme français, puisque les résultats sont assez ternes cette année. Outre le bon classement de David Gaudu et la victoire surprise de Victor Lafay lors de la deuxième étape, il n'y a pas vraiment de quoi se réjouir.