Mais quand finira-t-on par arrêter de parler de cette interview ? Depuis que Meghan Markle et le prince Harry ont décidé de répondre aux questions de la papesse de la télévision américaine, Oprah Winfrey, le 7 mars dernier, pas une semaine ne passe sans que l'on en reparle. Après les accusations de racisme et les tentatives de manipulations dénoncées par le père de Meghan, une nouvelle affaire vient de voir le jour.
Selon Tom Quinn, auteur de plusieurs livres sur la famille royale, le but de Meghan avec cette interview n'était pas de tirer un trait sur sa relation avec la Reine Elizabeth et sa famille, mais plutôt de s'en rapprocher. Dans un documentaire centré sur la mère d'Archie (né en mai 2019) et Lilibet (née en juin 2021) et diffusé sur une chaîne anglaise, le spécialiste de la famille royale a pris le contre-pieds des rumeurs actuelles. "Je pense qu'elle espérait des excuses, je pense qu'elle espérait qu'ils lui téléphonent et disent : 'Nous sommes vraiment désolés, on voit maintenant que nous avons été trop loin. Nous aurions dû agir différemment et s'asseoir ensemble, comme une famille afin de discuter de tes problèmes de santé mentale", a-t-il déclaré.
Je pense qu'elle a été horrifiée de voir que la réaction de la famille royale ait été aussi négative
Aucune vengeance donc de la part de Meghan, qui a évoqué ses pensées suicidaires durant cette interview et espérait donc simplement faire réagir la famille royale afin qu'ils se rendent compte de la détresse dans laquelle elle se trouvait à une époque. La bombe médiatique provoquée par l'interview n'était donc pas l'effet escompté par Meghan selon Tom Quinn. "Je pense qu'elle a été horrifiée de voir que la réaction de la famille royale ait été aussi négative et qu'ils n'aient pas répondu de la façon dont elle l'espérait", conclut-il.
Désormais maman pour la deuxième fois, Meghan Markle a eu le temps de digérer la déception, même si l'attitude de la famille royale concernant la naissance de Lilibet a de quoi l'inquiéter...