Michel Piccoli avec sa femme et son fils, lors de l'avant-première du film Habemus Papam à Paris le 6 septembre 2011© Abaca
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Fier, Michel Piccoli a assuré l'avant-première du film Habemus Papam, dans lequel il tient le rôle du pape, au sein de la Cinémathèque de Paris le 6 septembre, soit la veille de la sortie de ce long métrage de Nanni Moretti. Accompagné de sa femme et de son fils, il est un pape bienheureux !
Présenté au dernier festival de Cannes, Habemus Papam raconte l'histoire d'un pape fraîchement élu mais en proie au doute. Ce dernier ne semble pas prêt à supporter le poids d'une telle responsabilité. Angoisse ? Dépression ? Peur de ne pas se sentir à la hauteur ? Le monde entier est bientôt en proie à l'inquiétude tandis qu'au Vatican, on cherche des solutions pour surmonter la crise, notamment avec la collaboration d'un psychothérapeute.
Si le film est rentré bredouille de Cannes, Michel Piccoli, pressenti, n'obtenant pas le prix d'interprétation, remis à Jean Dujardin pour The Artist, Habemus Papam a fait des éclats lors de sa sortie en salles le 7 septembre. Ce long métrage a attiré 1 582 personnes dans Paris pour la première séance de 14h, battant à plates coutures Présumé coupable (878 entrées) et Sexe entre amis (708 entrées). Le scandale d'Outreau et la complicité entre Mila Kunis et Justin Timberlake n'auront pas eu raison de Michel Piccoli, humain, touchant, bouleversant, bref, en un mot, grandiose.
La projection d'Habemus Papam s'est déroulée en présence d'Emmanuelle Devos, de Lionel Jospin, ex-ministre et savoureux comédien dans Le Nom des gens, et Jack Lang, ancien ministre de la Culture. Le cinéaste Costa-Gavras, président et administrateur de la Cinémathèque française, et Serge Toubiana, directeur de cet établissement, n'ont pas caché leur enthousiasme, en serrant la main de monsieur Piccoli.
Présenté au dernier festival de Cannes, Habemus Papam raconte l'histoire d'un pape fraîchement élu mais en proie au doute. Ce dernier ne semble pas prêt à supporter le poids d'une telle responsabilité. Angoisse ? Dépression ? Peur de ne pas se sentir à la hauteur ? Le monde entier est bientôt en proie à l'inquiétude tandis qu'au Vatican, on cherche des solutions pour surmonter la crise, notamment avec la collaboration d'un psychothérapeute.
Si le film est rentré bredouille de Cannes, Michel Piccoli, pressenti, n'obtenant pas le prix d'interprétation, remis à Jean Dujardin pour The Artist, Habemus Papam a fait des éclats lors de sa sortie en salles le 7 septembre. Ce long métrage a attiré 1 582 personnes dans Paris pour la première séance de 14h, battant à plates coutures Présumé coupable (878 entrées) et Sexe entre amis (708 entrées). Le scandale d'Outreau et la complicité entre Mila Kunis et Justin Timberlake n'auront pas eu raison de Michel Piccoli, humain, touchant, bouleversant, bref, en un mot, grandiose.
La projection d'Habemus Papam s'est déroulée en présence d'Emmanuelle Devos, de Lionel Jospin, ex-ministre et savoureux comédien dans Le Nom des gens, et Jack Lang, ancien ministre de la Culture. Le cinéaste Costa-Gavras, président et administrateur de la Cinémathèque française, et Serge Toubiana, directeur de cet établissement, n'ont pas caché leur enthousiasme, en serrant la main de monsieur Piccoli.