Depuis sa prestation choc au côté du sulfureux Robin Thicke, elle n'a eu de cesse d'occuper le devant de la scène médiatique : quand elle n'est pas à twerker en petite tenue devant les foules, Miley Cyrus fait des étincelles en brisant les codes convenus du show-business et en jouant les rebelles philanthropes - en témoigne son dernier coup lors des MTV VMA où elle a envoyé un jeune SDF récupérer son prix.
Mais si pas un jour ne se passe sans qu'elle fasse les gros titres, l'ex-Disney girl reste néanmoins relativement discrète sur sa vie privée. Séparée depuis septembre dernier de son fiancé, Liam Hemsworth, la chanteuse de 21 ans n'a abordé ce délicat sujet qu'en de rares occasions. Aussi a-t-elle surpris son monde en s'épanchant en confessions inattendues lors d'une interview à l'émission australienne Sunday Night, diffusée hier dimanche 31 août.
L'ancienne interprète de la gentille Hannah Montana s'est en effet livrée comme jamais, abordant son histoire avec la star d'Hunger Games qui s'est terminée peu avant le carton Wrecking Ball, véritable chanson de rupture : "J'aime Liam et Liam m'aime. Il s'agit de se trouver soi-même, a assuré Miley, donnant une explication au sens de son désormais célèbre titre. À un moment il faut se séparer des gens. Il fallait que je devienne cette personne assise maintenant dans cette fauteuil. J'avais l'impression qu'il y avait quelque chose en moi qui allait exploser, il fallait que je me libère."
Et la starlette de revenir sur son penchant pour la marijuana dont elle ne se cache plus depuis de nombreux mois - et qu'elle affiche sur les réseaux sociaux, sur scène ou encore sur son compte Instagram. "Je pense que je ne promeus rien, a-t-elle déclaré. J'ai grandi dans un environnement dans lequel la marijuana n'a jamais été considérée comme quelque chose de mal. Je n'en parle pas dans mes chansons, ce n'est pas comme si je disais aux gamins de consommer de la drogue."
Miley Cyrus aurait-elle la mémoire courte ? Ces derniers mois, la chanteuse ne s'est pas privée pour faire des références pas toujours très discrètes aux substances illicites et notamment dans son tube We Can't Stop, qui a été accusé de faire l'apologie de stupéfiants. Mais prendre le contrepied de ce qu'elle fait semble être la nouvelle ligne de conduite de la star : dans l'émission Sunday Night, la jeune Américaine a en effet assuré sans ciller qu'Instagram était une véritable nuisance cérébrale. " Ça atteint votre cerveau. Comme le fait de googler son nom", a-t-elle lâché. Or, il n'y a qu'à aller faire un rapide tour de son profil pour constater que pas une journée (voire heure) ne se passe sans qu'elle publie un cliché de son quotidien déjanté. Alors Miley, flagrant délit de mauvaise foi ?