Décédée le dimanche 16 juillet 2023, Jane Birkin s'est éteinte à l'âge de 76 ans au sein de domicile parisien. Alors que la famille de la chanteuse doit se préoccuper de ses funérailles, voilà que ses proches ont dû faire face à une tentative de cambriolage de l'appartement dans lequel elle est décédée. Dans la nuit du mardi au mercredi 19 juillet 2023, des individus auraient tenté d'entrer par effraction dans la demeure de l'artiste. Selon nos confrères de BFMTV, c'est l'une des amies d'enfance de l'actrice qui a donné l'alerte. Alors qu'elle se trouvait dans l'appartement, cette dernière a indiqué avoir entendu des bruits derrière la porte. Les forces de l'ordre sont ainsi intervenues tout de suite et auraient d'ailleurs constaté "la présence de morceaux de bois au sol", "des dégradations sur le montant métallique de la porte" et "des traces sur la porte d'entrée".
La police municipale a inclus la maison de Jane Birkin dans sa ronde
La veille au soir, trois autres personnes avaient tenté de rentrer dans l'appartement de Jane Birkin mais avaient pris la fuite. Ainsi, tous les membres de la famille de la défunte sont en alerte. Et ils ne sont pas les seuls. En effet, la chanteuse possédait aussi une maison dans la commune de Lannilis, en Bretagne. Le maire de la ville a alors décidé de mettre en place de nombreuses mesures pour protéger la maison de l'artiste. "La police municipale a inclus la maison de Jane Birkin dans sa ronde", a assuré au Télégramme, Philippe Jarreau, l'un des proches des services de la mairie. "Nous avons évidemment un oeil sur la maison de Jane Birkin, au même titre que nous surveillons les maisons lorsque nous savons qu'elles sont vides", a aussi précisé le colonel Vernier, commandant de la gendarmerie de Brest.
Il faut dire que depuis le décès de Jane Birkin, de nombreuses personnes s'arrêtent aux abords de sa maison. Ainsi, les forces de l'ordre de la commune bretonne ont décidé de surveiller attentivement le domicile de la chanteuse. Nos confrères du Télégramme ajoutent que les avis de décès publiés dans les journaux permettent notamment aux cambrioleurs d'"établir leur feuille de route" de leurs futures effractions.