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Ami de longue date de l'écrivain et chroniqueur mondain Frédéric Beigbeder - qui l'a d'ailleurs fait tourner dans L'amour dure trois ans -, Nicolas Bedos n'a eu de cesse, depuis, de le tacler un peu partout dans les médias, à l'heure où il assure la promo de son dernier roman La tête ailleurs.
Après s'être fait descendre par son ancien ami sur le plateau d'On n'est pas couché, puis de façon très virulente dans Salut les Terriens ! la semaine dernière, le big boss et éditeur du magazine masculin Lui était l'invité du Petit Journal de Yann Barthès, ce mardi 19 novembre. L'occasion pour lui de clarifier ce différend avec Nicolas Bedos et de livrer sa version des faits...
"Je ne sais pas ce qu'il a, il est très énervé en ce moment. (...) C'est parce que dans Le Cercle, l'émission que j'anime, des journalistes ont égratigné son film Amour et turbulences. Et ça fait un an qu'il m'insulte et m'injurie partout où il le peut parce qu'il refuse le droit à la critique de cinéma. Je crois que c'est un humoriste qui a perdu le sens de l'humour, Nicolas", analyse Frédéric Beigbeder, visiblement blessé par les piques lancées par son ancien pote.
Il poursuit, au micro de Yann Barthès : "Il a beaucoup dit qu'on était copain dans les médias, comme il le dit avec Jean Dujardin. C'est bizarre de vouloir afficher une amitié pour ensuite s'en servir pour obtenir de bonnes critiques..."
Il y a quelques semaines, les deux écrivains avaient pourtant signé le manifeste des 343 salauds, qui revendique le droit pour des hommes d'avoir des relations sexuelles tarifées avec des femmes. Nicolas Bedos s'était, par la suite, retiré de cette pétition.
Pour rappel, ce dernier avait déclaré sur le plateau d'On n'est pas couché : "Quand on a un intime qui vient dîner à la maison, chez qui il m'est arrivé de m'attarder des heures, et qui vient à la première d'un film et me dit des choses agréables, et que trois jours plus tard, il renie ses compliments d'amis qu'il avait faits devant ma famille et mes proches, et que tu vois ton copain se gausser des saloperies que ses petits chroniqueurs t'envoient dans la tronche, c'est un moment particulier !"
Puis, dans Salut les Terriens !, il avait comparé Frédéric Beigbeder à un collabo, en employant des mots très durs à son égard : "Le mec, pendant la guerre, il aurait dénoncé Anne Franck mais après l'avoir niquée." Propos violents que Thierry Ardisson a tenté d'adoucir en précisant que les parents de l'écrivain avaient défendu des Juifs pendant la guerre. Mais c'était sans compter sur l'éternelle grande bouche de Nicolas Bedos qui a alors surenchéri : "Oui, mais le courage n'est pas héréditaire."
Joachim Ohnona
Après s'être fait descendre par son ancien ami sur le plateau d'On n'est pas couché, puis de façon très virulente dans Salut les Terriens ! la semaine dernière, le big boss et éditeur du magazine masculin Lui était l'invité du Petit Journal de Yann Barthès, ce mardi 19 novembre. L'occasion pour lui de clarifier ce différend avec Nicolas Bedos et de livrer sa version des faits...
"Je ne sais pas ce qu'il a, il est très énervé en ce moment. (...) C'est parce que dans Le Cercle, l'émission que j'anime, des journalistes ont égratigné son film Amour et turbulences. Et ça fait un an qu'il m'insulte et m'injurie partout où il le peut parce qu'il refuse le droit à la critique de cinéma. Je crois que c'est un humoriste qui a perdu le sens de l'humour, Nicolas", analyse Frédéric Beigbeder, visiblement blessé par les piques lancées par son ancien pote.
Il poursuit, au micro de Yann Barthès : "Il a beaucoup dit qu'on était copain dans les médias, comme il le dit avec Jean Dujardin. C'est bizarre de vouloir afficher une amitié pour ensuite s'en servir pour obtenir de bonnes critiques..."
Il y a quelques semaines, les deux écrivains avaient pourtant signé le manifeste des 343 salauds, qui revendique le droit pour des hommes d'avoir des relations sexuelles tarifées avec des femmes. Nicolas Bedos s'était, par la suite, retiré de cette pétition.
Pour rappel, ce dernier avait déclaré sur le plateau d'On n'est pas couché : "Quand on a un intime qui vient dîner à la maison, chez qui il m'est arrivé de m'attarder des heures, et qui vient à la première d'un film et me dit des choses agréables, et que trois jours plus tard, il renie ses compliments d'amis qu'il avait faits devant ma famille et mes proches, et que tu vois ton copain se gausser des saloperies que ses petits chroniqueurs t'envoient dans la tronche, c'est un moment particulier !"
Puis, dans Salut les Terriens !, il avait comparé Frédéric Beigbeder à un collabo, en employant des mots très durs à son égard : "Le mec, pendant la guerre, il aurait dénoncé Anne Franck mais après l'avoir niquée." Propos violents que Thierry Ardisson a tenté d'adoucir en précisant que les parents de l'écrivain avaient défendu des Juifs pendant la guerre. Mais c'était sans compter sur l'éternelle grande bouche de Nicolas Bedos qui a alors surenchéri : "Oui, mais le courage n'est pas héréditaire."
Joachim Ohnona