Invité de l'émission Grand Public diffusée ce jeudi 22 novembre à 23h15 sur France 2, Nicolas Bedos s'est confié comme rarement face à Aïda Touihri. Dans un extrait révélé en exclusivité par nos confrères de Puremedias.com, l'auteur et chroniqueur a évoqué un sujet intime et délicat, la cocaïne : "Je ne vais pas rentrer dans les détails, mais ma vie est un cimetière psychiatrique à cause de la coke et de l'alcool", explique-t-il.
Souvent accusé d'être un consommateur régulier de cette drogue, comme Tristane Banon l'a fait récemment, Nicolas Bedos a fait voler en éclats ces rumeurs : "C'est assez surprenant pour ceux qui sont persuadés que je m'en mets plein le pif, mais je suis bien l'une des personnes qui déteste le plus la cocaïne et, je trouve qu'on devrait surtout dire pourquoi ce n'est pas bien", estime le fils de Guy Bedos.
Marqué par les conséquences néfastes que cette drogue a eues sur son entourage, Nicolas Bedos, évoque son ami, l'écrivain Nicolas Rey, "qui se décrivait lui-même comme une sorte de mort-vivant à un moment donné", et témoigne : "Je ne connais personne qui prend de la coke régulièrement et qui, à un moment donné, ne m'a pas appelé ou dont je n'ai pas appris qu'elle venait de s'effondrer, en parfois ne faisant même pas le lien avec sa consommation de cocaïne."
Nicolas Bedos explique même pourquoi, selon lui, la cocaïne fait des ravages : "On ne peut pas réveiller les neurones avec de la dopamine en barre, sans ensuite payer un tout petit peu la violence que l'on vient de leur infliger. C'est comme si je vous offrais 16 orgasmes et que je disparaissais pendant un an et demi..."
Après un clash virulent par médias interposés il y a quelques semaines, Tristane Banon avait sous-entendu que Nicolas Bedos prenait de la cocaïne : "Puisque tu as l'air de t'en inquiéter, je te rassure, je mange autant que tu sniffes, c'est dire si je suis plutôt loin de l'anorexie", avait lancé la chroniqueuse de Paris Première, dans une lettre ouverte.