A 45 ans, Nicole Kidman est sur tous les fronts. Quand elle n'est pas une maman poule pour ses deux adorables filles, une femme amoureuse (avec Keith Urban, son mari), ou bien une actrice en tournage et sur les écrans (actuellement pour Stoker, de Park Chan-wook), la voici dans une publicité. A dire vrai, l'exercice est loin d'être nouveau pour la future membre du jury au Festival de Cannes 2013 puisque la belle Australo-Américaine était récemment devenue l'égérie glamour de marques de montres Omega.
Mais ici, printemps oblige, la vitalité étant de rigueur à l'approche de la période estivale, Nicole Kidman a troqué la noirceur de son personnage dans Stoker pour se lâcher totalement dans une publicité pour la marque Swisse. Dans les décors bucoliques d'un jardin anglais très verdoyant, elle y vante les mérites de Women's Ultivite, des pastilles de vitamines, d'origine biologiques, comme l'on peut en trouver par centaines dans les rayons des supermarchés ou en pharmacie. Pour illustrer les bienfaits de cette cure de jouvence, la pétillante rousse s'affiche resplendissante, légère et habillée d'un mini-short accompagné d'un top.
Et parce qu'elle respire le bonheur et la bonne santé, on la découvre en train de croquer la vie (une pomme) à pleines dents, se balader des carottes à la main le long d'un jardin sain, se cacher derrière un tournesol... Tout autant d'ingrédients et de vitamines que la marque Swisse veut mettre en avant. Et tout cela pour montrer sur une musique enchanteresse, que l'égérie est en pleine forme, au point de servir un coup de kick-fighting avec un lancer de jambe que même les connaisseurs ne renieraient pas.
Et si Nicole Kidman est aussi présente au côté des marques, c'est que non seulement son visage angélique fait vendre, mais cela permet aussi à l'actrice hollywoodienne d'entretenir un compte en banque et surtout de s'adonner sans grand risque financier à ses productions et films indépendants qui désormais l'intéressent. Un équilibre de carrière qui permet aujourd'hui à l'actrice de porter des projets plus osés comme Paperboy ou Stoker, des productions aux budgets très minces.