Olivier Minne expatrié à Los Angeles depuis plus de 20 ans : le train de vie strict qu'il s'impose dans sa grande maison

À tout juste 50 ans, Olivier Minne se définit lui-même comme un "perpétuel étudiant" auprès de nos confrères de Gala. La raison ? Sa soif permanente de savoir et d'enseignement. Aux commandes de l'emblématique jeu d'aventure Fort Boyard depuis 2003, l'animateur partage sa vie entre La France et les États-Unis, ou plus précisément Paris et Los Angeles. Dans le dernier numéro du magazine Gala, paru le jeudi 17 août 2023, le beau brun s'est confié sur sa vie américaine, lui qui possède une grande maison dans la San Fernando Valley depuis 2002 !

À Los Angeles, Olivier Minne a trouvé quelque chose qu'il ne parvenait plus à avoir en France : la paix. Sur cette terre promise qu'il définit d'ailleurs comme sa "terre de renaissance", l'animateur qui a fait son coming-out en 2017 peut se promener au gré de ses envies et pratiquer les activités qui lui plaisent sans être traqué. "Je me rends plus facilement qu'à Paris au supermarché du coin, habillé d'un jogging, les cheveux en bataille...", s'enthousiasme-t-il. Pourtant, même en Amérique, Olivier Minne n'est pas un inconnu ! Aux commandes d'une société de production baptisée Olivier Productions, il "écrit, propose ou produit des documentaires pour le câble américain". De temps en temps, il arrive donc que certains citoyens le reconnaissent... "Mais quand on me reconnaît, je suis toujours touché. Je ne le vis pas comme une intrusion. J'ai, au contraire, le sentiment d'avoir su créer un lien", explique-t-il fièrement.

À L.A, je peux suivre mes envies...

Malgré ces opportunités plus fréquentes de sorties, celui qui a connu une carrière compliquée préfère tout de même rester chez lui. Habitant dans le nord de la ville, il passe le plus clair de son temps dans sa grande maison, occupé à suivre un emploi du temps drastique : "lever à 5 h 30, muscu et cardiotraining dans un club pour dénouer le corps mais aussi l'esprit dans la foulée, puis séances d'écriture et de lectures, visionnages de films anciens autant pour m'instruire sur la psyché américaine, à travers les époques, que pour me divertir."

Bien qu'il soit à des milliers de kilomètres de notre cher Hexagone, Olivier Minne garde un oeil sur la France mais avoue sans mal que Los Angeles l'a "libéré d'une pudeur, de complexes : à L.A., je peux suivre mes envies...", a-t-il affirmé.