Pascal Praud est un homme de caractère et le prouve régulièrement dans son émission L'heure des pros, sur CNEWS. Lors de l'émission du 15 mars 2023, en plus d'être halluciné par Eric Naulleau, le présentateur de 58 ans a connu des petites tensions avec l'un de ses chroniqueurs. Une situation sur laquelle il a finalement tenu à s'excuser.
Chaque jour de la semaine, Pascal Praud passionne avec son émission L'heure des pros. Il y revient sur les sujets d'actualité et les débats font rage sur le plateau. Tout le monde n'est bien évidemment pas du même avis, ce qui peut offrir des séquences parfois houleuses. Comme lorsqu'il était venu le moment de revenir sur la défaite d'Eric Zemmour (invité juste avant dans Face à l'info) à la présidentielle de 2022.
Pascal Praud s'est adressé à son chroniqueur Philippe Guibert. Le compagnon de Catherine lui a demandé : "Est-ce que la politique française est une politique de la demande avec des aides sociales et un taux d'opposition très forte, oui ou non ?" Ce à quoi le consultant et enseignant a répondu par l'affirmative.
Les deux hommes n'ont ensuite pas réussi à se mettre d'accord sur le sujet. "On n'y arrivera pas, parce qu'en fait, même les chiffres, on n'arrive pas à être d'accord. Ne dites pas qu'il n'y a pas d'aides sociales en France !" Philippe Guibert a alors tenté de se défendre et a donc répliqué : "Je n'ai pas dit ça, je dis qu'il n'y a pas une politique d'augmentation." Des déclarations qui ont fortement agacé Pascal Praud. "Elle est tellement élevée ! Il faudrait qu'elle baisse, enfin Philippe ! C'est la plus élevée du monde, est-ce que ça pourrait vous rentrer dans la tête un jour ! Oh la la, ils n'ont rien compris", s'est-il emporté. Comme cela n'était pas le seul échange vif entre eux, le chroniqueur a menacé de quitter le plateau. "Non, restez quand même", lui a alors demandé le présentateur.
Au lendemain de ces échanges musclés, Pascal Praud n'a pas tardé à présenter ses excuses. "Je vous ai maltraité hier", a-t-il confié dans un premier temps. Philippe Guibert a alors lancé sur le ton de l'humour que ce n'était pourtant pas dans sa nature. "Les gens m'ont dit : 'Franchement, tu as été trop...' Vous avez ici toute votre place, vous le savez. Maintenant, c'est la vivacité des débats qui fait parfois que les échanges sont musclés", a poursuivi le présentateur, avant de passer à un tout autre sujet.