Avec les Balkany, c'est encore mieux qu'une série Netlifx : on est jamais déçu ! Et pour cause, il faut reconnaître à Isabelle et Patrick Balkany un certain sens du drama et de la formule, sans compter sur leurs nombreuses casseroles. Les époux, anciens dirigeants de la ville de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), offrent cette fois un épisode familial au grand public...
Sur Facebook, Patrick Balkany (71 ans) s'en est pris à la candidate Agnès Pottier-Dumas (Union de la droite et du centre), arrivée en tête au premier tour des élections municipales de mars dernier avec 34,6% des voix. "C'est aujourd'hui l'anniversaire d'Agnès Pottier-Dumas, je propose que nous nous cotisions pour lui offrir un aller simple pour Oulan-Bator la très belle capitale de la Mongolie où je suis certain qu'elle se plaira énormément", a écrit l'ancien maire, en légende d'une photo officielle de celle qui a été... sa directrice de cabinet ! Alors qu'il la soutenait dans la course à la mairie, Patrick Balkany - frappé du sceau de l'inéligibilité par la justice en raison de diverses affaires - a changé d'avis. Il faut dire que la candidate ne souhaitait pas offrir le moindre poste aux époux Balkany en cas de victoire.
Suite à sa publication peu subtile et à l'humour discutable, Patrick Balkany a été clashé par ses propres enfants ! "Papa s'il te plaît retire ce post atroce ! Ne sombre pas toi non plus dans cette pathologie des réseaux sociaux", a réagi en commentaires Vanessa Balkany. "Tu es odieux, pathétique et tu as encore raté une occasion de te taire ! Ta parole ne vaut plus rien. Bon vent ! Ton fils", a de son côté écrit Alexandre Balkany.
Si Patrick a gardé le silence, Isabelle - adepte des réseaux sociaux - a elle répondu. Et c'est sa fille qui en a pris pour son grade ! "Ma chérie, comme je suis contente de voir que tu as attendu 43 ans pour te préoccuper de Levallois, toi qui a toujours détesté cette ville, prétendant que notre amour pour les Levalloisiens nous aurait empêché d'être suffisamment attentifs avec vous ! Au point, de ne pas m'adresser la parole, pendant le confinement, à ma sortie de l'hôpital, mais de passer ton temps à hurler sur tes enfants ! Mais tu es ma fille et je te pardonne, même si je constate avec peine que mes 'lutins' de Levallois m'offre davantage d'amour que toi ! Comme je suis navrée que tu te serves des réseaux sociaux pour étaler en public tes aigreurs et tes rancoeurs ! Bisous", a-t-elle écrit.