Avec sa gueule d'ange de jeune premier ténébreux, Raphaël Personnaz se taille peu à peu une place dans le cinéma français. Révélation de La Princesse de Montpensier pour lequel il glane une nomination au César du meilleur espoir masculin, Raphaël Personnaz sera à l'affiche de deux films dès mercredi 5 décembre, à savoir le thriller dramatique Trois Mondes et l'opéra dantesque de Joe Wright, Anna Karénine. Avant de débuter l'année 2013 par une comédie aux côtés de la délicieuse Charlotte Le Bon pour La Stratégie de la poussette.
Il faudra donc s'habituer à voir souvent ce beau gosse dont la ressemblance avec Alain Delon n'échappe à personne. D'ailleurs, lui non plus ne le renie pas, même si ces comparaisons arrivent "trop souvent" selon ses dires rapportés par Le Figaro Magazine. C'est dans cette même interview que Raphaël Personnaz se dévoile. Il dit avoir aimé tourner aux côtés d'Anaïs Demoustier ou Bérénice Béjo, être admiratif de son concurrent Pio Marmaï ou encore adorer Meryl Streep.
Plus étonnant, l'acteur de 31 ans dit avoir "fugué, à 14 ans, pour retrouver, en Allemagne, une amoureuse rencontrée en voyage scolaire". Un acte romantique et inconscient dont l'heureuse élue n'a jamais rien su, Interpol ayant rattrapé le jeune amoureux fougueux avant. Outre la romance, Personnaz a d'autres passions et rêves. Il adore la moto (trop même), Funny People de Judd Apatow et il aimerait bien rester coincé dans l'ascenseur avec Penélope Cruz. Jusqu'ici, il n'a eu le droit qu'à Virginie Efira, dans une scène aussi coquine que cocasse dans La Chance de ma vie. Prochainement, il sera la tête d'affiche du Marius de Daniel Auteuil et donnera la réplique à la césarisée Bérénice Béjo pour Au bonheur des ogres, avant de se retrouver au bras de Julie Gayet dans After. D'ici là, on reparlera probablement de cette star en devenir.
L'interview complète est à retrouver dans le numéro 21253 du "Figaro Magazine" en kiosques dès le 30 novembre.