Romain Duris en couverture du magazine Psychologies - édition décembre 2012
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Romain Duris n'est pas du genre à s'épancher sur sa vie personnelle, pas du genre à parler de son couple avec Olivia Bonamy, ni de leur fils Luigi, bientôt 4 ans. En acceptant de répondre aux questions du magazine Psychologies à l'heure de la promotion du film Populaire dont il est le héros, il se livre néanmoins, tout en protégeant farouchement son intimité. L'humble Romain est un peu nerveux, mais au final, il se racontera avec enthousiasme.
Déterminé et charmeur, Romain Duris est "profondément optimiste". Une envie de voir la vie en mieux qui date de son enfance, mais il ne livrera aucun détail sur de quelconques blessures dans sa jeunesse. Il dira toutefois : "En tant que petit dernier d'une famille, il a fallu que je m'impose pour exister et pour le faire comprendre aux autres. C'est une position qui, souvent, incite à vouloir se faire aimer, oui."
Selon lui, rien n'est grave et, en vieillissant, il ne s'est pas posé mais admet mieux maîtriser ses démons. Lesquels ? On n'en saura rien : "Je les aime trop, mes démons, pour les exposer !" Sa peur de se dévoiler ne date pas d'hier : "Imaginez, à 18 ans, je venais de faire Le Péril jeune, je n'étais déjà pas préparé à être vu sur un grand écran et, en plus, on me demandait de me dévoiler en interviews. Depuis, cela n'a fait qu'empirer."
Le besoin de discrétion de Romain Duris sera respecté au fil de l'entretien et il se laissera aller à raconter sa vie de père, qu'il maintient éloignée du cinéma : "Quand je joue avec mon enfant, chaque fois que je sens que mon métier peut intervenir ou que j'y pense, ça me gêne, je n'aime plus du tout. Je suis plus vrai que ça."
Le pudique Romain Duris s'en donne à coeur joie au cinéma où sa notoriété n'a pas pris une ride depuis ses débuts. Dans Populaire, il coache Déborah François dans des concours de dactylographie à la fin des années 1950, dans une folle ambiance rétro. Un film audacieux qui précède L'Ecume des jours de Michel Gondry et son retour avec le réalisateur Cédric Klapisch dans Casse-tête chinois.
Populaire, en salles depuis le 28 novembre
Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le magazine Psychologies du mois de décembre
Déterminé et charmeur, Romain Duris est "profondément optimiste". Une envie de voir la vie en mieux qui date de son enfance, mais il ne livrera aucun détail sur de quelconques blessures dans sa jeunesse. Il dira toutefois : "En tant que petit dernier d'une famille, il a fallu que je m'impose pour exister et pour le faire comprendre aux autres. C'est une position qui, souvent, incite à vouloir se faire aimer, oui."
Selon lui, rien n'est grave et, en vieillissant, il ne s'est pas posé mais admet mieux maîtriser ses démons. Lesquels ? On n'en saura rien : "Je les aime trop, mes démons, pour les exposer !" Sa peur de se dévoiler ne date pas d'hier : "Imaginez, à 18 ans, je venais de faire Le Péril jeune, je n'étais déjà pas préparé à être vu sur un grand écran et, en plus, on me demandait de me dévoiler en interviews. Depuis, cela n'a fait qu'empirer."
Le besoin de discrétion de Romain Duris sera respecté au fil de l'entretien et il se laissera aller à raconter sa vie de père, qu'il maintient éloignée du cinéma : "Quand je joue avec mon enfant, chaque fois que je sens que mon métier peut intervenir ou que j'y pense, ça me gêne, je n'aime plus du tout. Je suis plus vrai que ça."
Le pudique Romain Duris s'en donne à coeur joie au cinéma où sa notoriété n'a pas pris une ride depuis ses débuts. Dans Populaire, il coache Déborah François dans des concours de dactylographie à la fin des années 1950, dans une folle ambiance rétro. Un film audacieux qui précède L'Ecume des jours de Michel Gondry et son retour avec le réalisateur Cédric Klapisch dans Casse-tête chinois.
Populaire, en salles depuis le 28 novembre
Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le magazine Psychologies du mois de décembre