Stéphane Bern est l'un des acteurs principaux du téléfilm Pour l'honneur d'un fils sur France 3 dans lequel il endosse le rôle du commandant Paul Leclerc, un ancien pilote de chasse chargé de former les militaires à l'utilisation des drones d'observation. Quatre ans après avoir incarné un gendarme dans Meurtres en Lorraine, l'animateur de 58 ans renfile l'uniforme. À cette occasion, Stéphane Bern a donné une interview à nos confrères du Parisien ce mercredi 24 août : "Après Meurtres en Lorraine où je jouais un lieutenant de gendarmerie, j'ai trouvé formidable que France Télévisions me propose ce rôle de commandement d'une base aérienne. Je fais mes classes ! Je ne suis jamais considéré comme un comédien de métier mais en même temps j'ai déjà joué au théâtre, au cinéma, etc."
C'est décidément une semaine riche pour Stéphane Bern car il a également célébré les 40 ans de son compagnon Yori Bailleres ce lundi 22 août. "Joyeux anniversaire à mon roi de coeur", a-t-il écrit en légende d'une photo de son chéri en story sur Instagram. Quelques jours plus tôt, les deux tourtereaux s'étaient accordés quelques jours de vacances en Grèce.
Il m'a fait acheter un canapé contemporain
Récemment, Stéphane Bern et son chéri Yori ont accordé une interview à Paris Match. Les deux amoureux sont revenus notamment sur leur déménagement à Thiron-Gardais en Centre Val-de-Loire où l'animateur a confié dormir mieux. "Il m'a appris ce qu'était le confort", a confié Stéphane Bern en évoquant un changement de décor provoqué par Yori : "Il a installé une télé et m'a fait acheter un canapé contemporain, alors qu'avant j'avais un petit canapé Napoléon III, que j'adorais mais qui était raide. En revanche, ne touchez pas à l'incommensurable collection de mugs royaux dans la cuisine ou aux photos dédicacées de têtes couronnées qui ornent le bureau." Cela a le mérite d'être clair !
De son côté, Yori Bailleres s'était confié son coup de foudre pour l'animateur : "A la télévision, il ne m'avait jamais fait d'effet particulier, alors que dès que je l'ai vu en vrai, il m'a touché. Je ne voudrais pas faire de psychologie de comptoir, mais j'ai reconnu en lui une blessure, la même que la mienne et une sorte de résilience."