Stéphane Bern est en couverture du nouveau numéro de France Dimanche paru ce vendredi 2 septembre. L'animateur de 58 ans a ouvert les portes de son nouveau château situé à Thiron-Gardais en Centre Val-de-Loire, à 1h30 de Paris. Il y vit avec son compagnon Yori Baillères.
Pour s'approprier cette propriété qu'il a "rachetée au prix d'un studio parisien de 20m2", Stéphane Bern a dû faire quelques rénovations. Le moins que l'on puisse dire, c'est que ça n'a pas été une promenade de santé pour l'animateur. "C'était une ruine !, a-t-il lancé. Cela ne se voyait pas trop de l'extérieur, mais il fallait tout refaire à l'intérieur. Sans compter qu'on a eu tous les problèmes, notamment la mérule qui rongeait la charpente. Si bien que c'est devenu un chantier pharaonique qui m'a un peu mis sur la paille..."
Ici, c'est vraiment mon refuge
Si l'animateur a pu bénéficier d'un petit coup de pouce côté finance, il doit cependant relever un défi de taille : "Ce sont les banques qui ont payé, mais cela m'oblige à travailler au-delà de 67 ans pour rembourser tout ça ! Mais ma grande fierté est d'avoir refusé toutes les aides publiques. Je n'ai bénéficié d'aucune subvention pour les travaux. En tant qu'animateur sur le service public, je ne pouvais pas me le permettre."
Heureux avec son compagnon Yori, Stéphane Bern semble vivre sa meilleure vie dans sa nouvelle demeure : "Je prends le temps et je vois mieux les gens qu'à Paris. Plus jeune, j'ai aimé les mondanités, les grandes soirées, mais maintenant, c'est terminé ! Je vais avoir 59 ans et cela m'est passé. L'idée même de mettre un costume cravate m'angoisse. Ici, c'est vraiment mon refuge", a-t-il confié à France Dimanche. Toutefois, Yori lui a imposé un changement de décor : "Il a installé une télé et m'a fait acheter un canapé contemporain, alors qu'avant j'avais un petit canapé Napoléon III, que j'adorais mais qui était raide. En revanche, ne touchez pas à l'incommensurable collection de mugs royaux dans la cuisine ou aux photos dédicacées de têtes couronnées qui ornent le bureau", avait-il confié à nos confrères de Paris Match en août dernier.