Alors qu'elle a mis fin à son marathon promo à Londres, où elle défendait son brûlot à succès Merci pour ce moment, Valérie Trierweiler devait poursuivre son offensive médiatique par une grande tournée dans le reste de l'Europe mais le journal Le Parisien annonce qu'elle a renoncé à se déplacer en Italie, prochaine étape de son programme. Toutefois, selon nos informations exclusives, l'ancienne première dame vient de décider de renoncer à l'ensemble de ses déplacements aussi bien sur le Vieux Continent qu'en Asie, fatiguée et touchée par la violence des critiques. De quoi rassurer, un peu, l'Élysée, accusé de l'avoir mise sous surveillance policière comme en témoigne la présence d'une équipe des forces de l'ordre lors de son départ à la Gare du Nord à Paris.
Si elle avait refusé de donner la moindre interview à la presse française lors de la sortie, en septembre dernier, de Merci pour ce moment (déjà vendu à 600 000 exemplaires), Valérie Trierweiler ne s'est pas montrée avare en confidences lors de son escapade outre-Manche : deux interviews à la télévision et une autre dans le Times magazine ainsi qu'une séance de dédicaces ! Cependant, si la couverture médiatique devrait lui permettre d'écouler encore plus de livres que les 10 000 exemplaires qui avaient déjà trouvé preneurs en ligne, l'accueil sur place a été violent. Son livre, renommé Thank You for this Moment, a notamment été démoli par une critique du journal respecté The Telegraph. De plus, les retombées médiatiques en France ont aussi été désastreuses pour son image puisque les critiques, provenant aussi bien du monde artistique que de la classe politique de droite comme de gauche, se sont abattues sur elle !
De retour en France, Valérie Trierweiler se repose, fatiguée et éprouvée par tout ce battage médiatique. L'ancienne première dame a donc dit adieu à la promo en Europe et en Asie - son livre devant être traduit en douze langues -, mais elle devrait toutefois honorer son engagement avec le supplément du Corriere della Serra, prévu pour le 29 novembre - qui doit déjà être réalisé -, affirme Le Parisien. Peut-être reviendra-t-elle sur les révélations faites par le magazine Closer dans son édition du 28 novembre 2014 sur le fait qu'elle est toujours sous surveillance policière alors qu'elle n'est plus première dame et qu'elle ne devrait officiellement plus bénéficier de ce dispositif...
Le magazine relate ainsi une scène qui s'est déroulée à la gare du Nord à Paris, le 22 novembre dernier, alors qu'elle devait prendre le train pour Londres en compagnie de ses proches dont son fils Léonard. Closer affirme ainsi que trois policiers, deux hommes et une femme, habillés en civil dans la foule, ont discrètement accompagné Valérie Trierweiler et son fils jusqu'à ce qu'ils montent dans l'Eurostar avant de rejoindre leur voiture banalisée, une Peugeot 206 grise. Si cette affaire est véridique, elle ne fait que renforcer les dires de l'ex-première dame, laquelle avait affirmé dans les pages de Times qu'elle se savait surveillée et que c'est notamment grâce à cela que François Hollande pouvait lui faire parvenir des fleurs aux quatre coins du monde alors qu'elle ne l'informait nullement de ses déplacements personnels. Toutefois, le brigadier qui était en charge d'elle a été affecté à la protection du chef de l'État et Closer dévoile qu'il donnait parfois de ses nouvelles au président... Question : mais qui paie les policiers qui surveillent Valérie Trierweiler et de quel service dépendent-ils ?
Réagissant aux révélations faites par Closer, le ministère de l'Intérieur s'est fendu d'un communiqué officiel : "Suite aux allégations parues ce 28 novembre dans un hebdomadaire, le ministère de l'Intérieur indique qu'aucun service de police ou de gendarmerie ne protège ni ne surveille Madame Valérie TRIERWEILER depuis le 1er février 2014."
Thomas Montet