Depuis son adolescence, il vit sous l'oeil des caméras à cause de sa soeur.James Middleton, frère cadet de la femme du Prince William, n'a jamais caché qu'il avait du mal avec la médiatisation à outrance de sa famille. Fatigué de cette attention de tous les instants, il avait même expliqué avec honnêteté il y a quelques années qu'il souffrait d'une grave dépression et de troubles de l'attention.
Des soucis qu'il règle peu à peu, notamment grâce à une thérapie familiale menée il y a plusieurs mois en présence de ses parents, Carol et Michael, mais également de ses grandes soeurs, Pippa et Kate. "C'était tellement important", avait-il raconté il y a peu au journal The Telegraph. "Parce que ça m'a aidé à me comprendre et maintenant, je sais comment marche mon cerveau. Et je pense que la thérapie m'a aidé car ma famille a arrêté de me demander ce qu'ils pouvaient faire pour moi. Ils savaient qu'ils comprendraient en assistant à mes séances de thérapie".
Mais aujourd'hui, il a trouvé d'autres techniques pour aller mieux, notamment... les animaux ! Avec sa femme, la française Alizée Thévenet qu'il a épousée en 2021, ils possèdent six chiens dont il s'occupe beaucoup. "On peut confier ses émotions, même les plus noires, à son chien et leur faire confiance, ils n'en diront rien à personne. De mettre des mots sur les émotions, même si on les confie à des chiens, c'est un véritable soulagement", a-t-il expliqué à Hello!, à l'occasion de la Semaine de la Santé Mentale.
Et avec ses chiens, il n'aime rien de plus que de prendre l'air. "Je suis un grand amateur de l'extérieur, que ce soit dans la ville ou à la campagne. Penser à soi, prendre un moment, c'est parfois difficile mais c'est tellement important. Sortir, marcher, changer d'air, ça aère le cerveau", argumente-t-il. J'aime aussi emmener mes 6 chiens pour des promenades. C'est d'ailleurs vraiment mignon quand les gens s'intéressent à mes chiens. Ils s'arrêtent et me demandent s'ils peuvent les caresser. Et avant qu'on s'en rende compte, on discute", conclut-il, heureux d'être à nouveau un homme normal, loin de tous les photographes.
Et il encourage ses compatriotes à faire de même, à s'engager près d'animaux pour aller mieux : "Si vous n'avez pas de chiens, peut-être que vous pouvez vous engager dans un refuge local. La plupart d'entre eux ont besoin de volontaires pour les chiens, même pour les parrainer avant qu'ils trouvent une famille définitive". Une belle cause et on espère que ça l'aide à s'en sortir enfin !