Accusations de racisme envers un membre de la famille royale, tacle à sa belle-soeur Kate Middleton qui l'aurait fait pleurer, révélations sur de supposées pensées suicidaires.... Meghan Markle avait sorti l'artillerie lourde pour son interview choc avec Oprah Winfrey en mars 2021 sur CBS. Depuis, l'ex-actrice américaine semble se porter nettement mieux.
Mardi 9 novembre 2021, l'épouse du prince Harry était conviée à participer au DealBook Online Summit - un évènement sur deux jours en présence de personnalités des mondes politiques, économiques et culturels pour débattre de sujets de société à l'heure du Covid-19 - et, interrogée par l'auteur et journaliste Andrew Ross Sorkin (The New York Times), elle a donné des nouvelles rassurantes de sa santé mentale.
"Il y a eu un moment pendant lequel beaucoup de monde s'est montré inquiet", a lâché le présentateur de l'évènement, revenant sur les déclarations de Meghan Markle qui avait dit avoir eu des pensées suicidaires quand elle était enceinte de son fils Archie. "Je ne voulais juste plus être en vie. Et c'étaient des pensées constantes, terrifiantes, réelles et très claires", avait-elle confié alors à Oprah Winfrey.
Cette dernière a tenu à se montrer rassurante. "Je vais bien mieux, à tous les niveaux. Je vous remercie", a-t-elle réagi. La jolie brune âgée de 40 ans a admis que son déménagement en Californie - dans une maison hors de prix à Santa Barbara - ainsi que son retrait de la famille royale étaient deux aspects positifs de son nouvel état d'esprit. Un Megxit qu'elle ne regrette donc pas une seule seconde.
Meghan Markle, qui a multiplié les partenariats financiers pour gagner sa vie depuis qu'elle est de retour aux Etats-Unis, va tellement mieux qu'elle jongle entre ses activités professionnelles, sa vie de maman de deux enfants - Lilibeth est née en juin dernier - et ses engagements personnels. Ainsi, elle a pris son téléphone pour appeler des sénateurs démocrates et républicains afin de les inciter à voter en faveur d'un texte de loi instaurant un congé parental rémunéré pour les jeunes parents... Une initiative qu'elle n'aurait jamais pu faire au Royaume-Uni, les membres de la couronne ayant interdiction de s'immiscer aussi concrètement dans la vie politique du pays.