"On peut rigoler de tout sauf..." Dimitri Rassam : Le fils de Carole Bouquet face à un imprévu très stressant et aux lourdes conséquences

Producteur du film Le comte de Monte Cristo en salles depuis le 28 juin 2024, Dimitri Rassam (42 ans) a eu une belle frayeur le dimanche 30 juin avec ses amis Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte (réalisateurs du film). Alors qu'ils attendaient avec impatience les chiffres d'entrée lors de ce premier week-end de sortie (le Comte de Monte Cristo est sorti ce vendredi), ils ont découvert que l'application Pathé qui permettait de réserver des places ne fonctionnait plus.

"L'app Pathé est bel et bien en rade" indique l'un d'eux, affolé. "Un incident est en cours depuis 13h, les équipes d'astreinte sont mobilisées", "Essaye d'acheter une place, c'est impossible, je viens d'alerter" lance également l'un d'entre eux dans une conversation Whatsapp partagée par l'ex de Charlotte Casiraghi dans sa story Instagram.

"J'essaye de rester cool mais un des plus gros jours de l'année qui plus est assez prévisible ... je sais pas qui ils ont mis sur le coup mais ce serait bien de régler le truc" ajoute-t-il, très nerveux. En story, le papa de Balthazar a également confié à ses abonnés : "Il y a tellement de gens dans les salles aujourd'hui que ça a fait bugger l'app Pathé. Pas stressant du tout ça non plus". Finalement (et heureusement) tout est rentré dans l'ordre. Un moment de stress intense, qui plus est en pleine fête du cinéma où les places sont vendues à prix réduit, pour le producteur de 42 ans. Dimitri Rassam a misé gros sur ce projet mais peut se féliciter des chiffres. Le Comte de Monte-Cristo comptabilisait déjà plus de 125 000 entrées le premier jour de sa sortie.

Il avait d'ailleurs partagé cette annonce de folie sur Instagram en remerciant les cinéphiles d'être déjà très nombreux à avoir voulu découvrir ce chef-d'oeuvre.

"Il y a des films qui charrient pour ceux qui les font encore davantage que ce qu'ils cristallisent à l'écran. Celui la plus que tous les autres en ce qui me concerne. D'abord parce que j'en suis immensément fier. Fier du travail, fier du parcours accomplis avec deux amis dont la rencontre il y a quinze ans a changé ma vie professionnelle, ma vie tout court. [...] Si je retire à mon tour le masque qui m'a permis de tenir ces derniers temps, parce que ce film s'est formé durant une période de tumulte qui a ébranlé ma capacité même à croire, à faire sens. Son succès ne chassera pas forcément ce spleen, je resterai sans doute nostalgique d'une époque que je n'ai pas connue, d'un monde qui n'a probablement jamais existé ailleurs que dans mes fantasmes. Je sais bien que le destin de ce film n'atténuera en rien la mélancolie qui m'habite, pour autant il n'en est que plus précieux, plus beau. Il ne remplace ni n'efface rien. Il se mêle à tout ça, il prend place, et à l'instant me remplit de joie. Ne serait-ce que pour cela, je suis infiniment reconnaissant. MERCI." Un film qui semble visiblement très cher au coeur de Dimitri.