L'heure d'affronter la justice a sonné pour Amanda Bynes. Après avoir jeté un bong par la fenêtre de son appartement, tout de même situé au 36e étage d'un building de New York, au mois de mai, la plus jeune retraitée d'Hollywood a été contrainte d'assister à une audience au tribunal, mardi 9 juillet 2013. Excentrique jusqu'au bout, elle s'est présentée avec des cheveux bleus. Une broutille en comparaison de ses propos déplacés contre le couple Obama.
Amanda Bynes bientôt en prison ? C'est fort probable au vu des actes qui lui sont reprochés. La jeune femme, que ses parents soupçonnent d'être schizophrène et dont ils ont demandé la mise sous tutelle, est accusée d'avoir jeté un bong (utilisé pour consommer de la drogue) du haut de son appartement. Un geste qui aurait pu causer un drame et pour lequel elle a été entendue par la police, ainsi que pour sa consommation de marijuana. Complétement prise dans ses délires depuis des mois, elle avait accusée les policiers d'agression sexuelle après son arrestation. Comme si cela ne suffisait pas, l'ex-star de la série Ce que j'aime chez toi, reconvertie selon elle dans la mode et qui envisage une carrière de rappeuse, s'est aussi rasé la tête. C'est donc avec une perruque bleue à la Lady Gaga qu'elle s'est présentée à son audience, comme le montrent nos confrères de Just Jared.
Si pour le moment elle ne s'est pas encore exprimée sur son procès à venir, Amanda Bynes n'a pas gardé la langue dans sa poche. Celle qui affirme "adorer la chirurgie esthétique" au point d'avoir refait son nez a fait deux nouvelles victimes sur son compte Twitter : Barack Obama et sa femme Michelle Obama. La jeune starlette s'est contentée d'un laconique : "Ils sont moches." Très mature... Que le président et la First Lady se rassurent, ils ne sont pas les seuls à être dans le collimateur de crazy Amanda. En effet, Perez Hilton, Miley Cyrus ou encore Jay-Z ont aussi eu droit à leurs insultes. Le seul qui trouve grâce à ses yeux, c'est le chanteur Drake, dont elle aimerait qu'il "s'occupe de son vagin"...
Thomas Montet