Ce samedi, l'icône Brigitte Bardot fête ses 90 ans. Recluse depuis des années dans son domaine de La Madrague, l'actrice a multiplié les interviews dernièrement mais ne comptez pas sur elle pour célébrer en grande pompe son anniversaire.
"Je redoute ce 28 septembre... Ils vont finir par me faire mourir", clame-t-elle avec humour à Var Matin en ce jour si spécial. Et de confier ensuite ce qu'elle a prévu : "Je ne prépare rien de particulier. Ce sera ma vie comme tous les jours. Mon rêve et le but de ma vie en fait c'est de voir exaucer l'un de mes souhaits. Je ne voudrais pas mourir avant d'avoir obtenu cela."
Et comme l'explique le journal, parmi ses souhaits il y a notamment réussir à obtenir l'interdiction de l'hippophagie (pratique alimentaire consistant à consommer de la viande de cheval- et l'abolition des corridas. En attendant, elle continue de se battre aux côtés de sa Fondation à qui elle a tout vendu. D'ailleurs, parmi les plus beaux cadeaux qu'elle peut recevoir en ce jour si particulier, il y a les missives de fans et notamment celle de François, sexagénaire qui a écrit à la star pour lui dire qu'il avait fait changer son testament afin de céder ce qu'il possédait à la Fondation de l'actrice. "Je suis merveilleusement soutenue par les gens et je les remercie de cette confiance extraordinaire", commente-elle.
Comme elle le confie ensuite à nos confrères, Brigitte Bardot aimerait juste que ce soit "un joli jour". "Toute ma vie j'ai été machinée, truc-muchée, photographiée comme personne au monde n'a pu l'être. Maintenant ce que je veux, c'est le calme; la sérénité, la douceur de vivre et plus tout ce fourbi-là", déclare celle qui vit aujourd'hui auprès de ses animaux et de son mari Bernard d'Ormale. Il sera sûrement là, à ses côtés, même si comme elle l'a avoué récemment, il ne passe pas tout leur temps ensemble. "Je vais vous dire, je le vois très peu", avait-elle déclaré à Gala il y a peu. Intrigué, le journaliste lui avait alors demandé s'ils dormaient ensemble. Et à la star internationale de répondre : "Si, bien sûr, mais quand il dort, on communique peu, il ronfle ! [Rires, ndlr]. On se retrouve le soir, mais on vit très parallèlement. Alors oui, il est là, disons qu'il est là quand il a le temps d'être là."