Claudia Schiffer est toujours un top model en vogue. La preuve : elle enchaîne les couvertures de magazines ! Cet été, la séduisante blonde est dans tous les kiosques d'Europe, du Royaume-Uni à la Grèce en passant même par la République Tchèque.
Le monde de la mode salue encore une fois le style et la beauté de Claudia Schiffer. Le magazine Harper's Bazaar a dédié trois de ses magazines à la star des podiums, avec en couverture, la même photo réalisée par Horst Diekgerdes. En couverture des numéros anglais (juillet), grec et tchèque (août), Claudia Schiffer est encore un parfait sosie de Brigitte Bardot (c'est d'ailleurs cette ressemblance qu'il l'a rendue populaire) : yeux maquillés de khôl noir, cheveux blonds qui tombent sur les épaules, lèvres charnues... Sa ressemblance avec BB est toujours aussi flagrante ! Mais à voir ce maquillage tellement appuyé sur les yeux, on se demande si on ne la préfère pas plutôt avec un léger nude...
Il n'empêche que les deux icônes ont vraiment la même allure. D'autant plus que le mannequin de 40 ans a orné sa chevelure d'une marguerite jaune qui n'est pas sans rappeler la mode des années 60/70. Un style que Claudia Schiffer affectionne particulièrement. Dans les rues de Londres pour aller chercher ses trois enfants à l'école (Caspar, 8 ans, Clementine, 6 ans, Cosima, un an), l'épouse de Matthew Vaughn attire tous les regards avec ses looks seventies.
Dans les pages du numéro de juillet du Harper's Bazaar anglais, Claudia Schiffer explique d'ailleurs comment elle réussit à trouver un équilibre entre sa carrière et sa famille : "J'essaye de dîner avec mes enfants. Je veux aussi les mettre au lit. Je ne suis pas de ces gens qui ne quittent pas leur Blackberry. En famille, j'oublie tout ça."
Même si le top model ne défile plus, sa carrière est au beau fixe. En plus de multiplier les séances photos pour des magazines, elle lance sa première collection de vêtements tout en cachemire. Et Claudia Schiffer reste nerveuse à l'idée de lancer sa griffe : "C'est la première fois que je donne mon nom à un produit. Je me sens confiante mais aussi angoissée. Qui sait ? Peut-être que je serai la seule dans le monde à aimer mes vêtements." Réponse dans quelques mois !