Actuellement en plein tournage de Rien à déclarer, sa nouvelle comédie depuis le méga-succès de Bienvenue chez les Ch'tis, Dany Boon a enrôlé avec lui Benoît Poelvoorde pour une histoire décapante de douaniers, l'un Français et l'autre Belge.
Mais l'autre gros événement récent de Dany, c'est la naissance de sa première fille - Sarah -, le 1er mars dernier, qui est arrivée prématurément dans la fratrie déjà composé de Mehdi, 13 ans, né d'une première union, de Noé, 10 ans, né de son union avec Judith Godrèche, et d'Eytan, 4 ans, et Elia, 3 ans, nés de sa relation avec Yaël.
Une actualité professionnelle et personnelle très chargée donc pour le plus célèbre Ch'ti de France. A cette occasion, le magazine Paris-Match - en kiosques demain - l'a rencontré lors d'une longue interview.
Née avec plusieurs semaines d'avance - elle était attendue courant mai -, l'arrivée de Sarah a bouleversé Dany, qui, dès l'annonce de la naissance, s'est précipité au chevet de la maman et de l'enfant. Il raconte ainsi : "C'est arrivé un samedi à la fin du mois de février, en tout début de soirée. (...) Yaël était à la montagne chez son père. Elle m'a appelé et m'a dit qu'elle était en train d'accoucher, plus de deux mois avant terme. (...) J'ai quitté le tournage immédiatement et je suis arrivé dans la nuit. Avoir un enfant qui naît prématurément est toujours angoissant."
Cet accouchement un peu trop rapide aurait été déclenché, à la suite d'un simple rhume contracté par leurs deux fils : "Mes deux fils cadets avaient contracté un rhume ou un microbe assez banal, on ne sait pas bien, que Yaël a attrapé, qui a touché le placenta et a provoqué l'accouchement en trois quarts d'heure. Yaël a eu le courage inouï de mettre au monde Sarah le plus vite possible, sans anesthésie, pour qu'elle ait toutes les chances de s'en sortir."
Aujourd'hui, Dany Boon est rassuré, les deux femmes de sa vie vont très bien, même si la petite est toujours à l'hôpital : "Il faut que Sarah poursuive sa croissance en couveuse, comme si elle était dans le ventre de sa maman, jusqu'à terme, c'est-à-dire au mois de mai."
Le comédien a donc repris le chemin du tournage, devant l'insistance de Yaël : "J'ai attendu qu'elles soient définitivement hors de danger. Et puis Yaël m'a donné sa bénédiction. Elle m'a dit : "Vas-y, va bosser. Et t'as intérêt à ce que ce soit bien !" Elle m'a menacé, j'ai été obligé de céder."
Retrouvez l'intégralité de cette interview dans le magazine Paris Match, en kiosques aujourd'hui et sur le site parismatch.com.