Quelques heures avant son passage très suivi dans Touche pas à mon poste (C8), c'est dans le Mad Mag de NRJ12 que Soraya Riffy – la jeune femme embrassée malgré elle sur le haut du sein par Jean-Michel Maire le 13 octobre dernier – s'est exprimée face à Ayem Nour, revenant ainsi sur le comportement "pas professionnel" du chroniqueur de Cyril Hanouna.
Sur place, Soraya qui prenait la parole par téléphone n'a pas forcément été très bien accueillie par le chroniqueur Aymeric Bonnery qui n'a pas hésité à lui lancer que, d'après lui, elle cherchait désormais à faire le buzz plus qu'autre chose. "Sérieusement Soraya, je veux bien que tu lui tapes un peu dessus mais quand même, toi, tu profites beaucoup du buzz TPMP : t'as changé ton Instagram où tu t'appelles désormais Soraya TPMP. Quelque part, ça te bénéficie, oui c'est maladroit de sa part, mais que tu le condamnes autant, je trouve ça déplacé aussi. Je pense que tu veux profiter de cette histoire pour te mettre en lumière et je trouve ça regrettable. Jean-Michel Maire, c'est un bon mec", a-t-il lâché.
Une sortie qui, forcément, n'a pas plu à la jeune femme de 21 ans : "Je ne le condamne pas, justement !, s'est-elle aussitôt défendue. Je ne le condamne pas parce que j'ai refusé de déposer plainte contre lui. Si j'avais été une fille qui profite de la situation, j'aurais déposé plainte contre lui et j'aurais touché des indemnités. Or, je ne l'ai pas fait. Et j'ai pas dit que c'était un mauvais mec !"
Quelques heures plus tard, sur le plateau de TPMP, c'est un Jean-Michel Maire au bord des larmes qui a pris la parole face à Soraya. "Je crois respecter les femmes autant que je peux, que je puisse être un gros lourd, je l'avoue aisément. Parfois, je dépasse les bornes et ça peut devenir un geste déplacé, si ce geste a été déplacé, je m'en excuse une nouvelle fois. Je comprends très bien que des gens aient pu être choqués. Sur le moment, dans l'emballement, je n'ai pas saisi la portée de la chose. C'est vrai que le terme d'agression m'a énormément choqué", avait-il exprimé, très ému.