Emmanuelle Seigner en avril 2010© Abaca
La suite après la publicité
Avec ses allures de femme énigmatique, Emmanuelle Seigner semble inaccessible. Pourtant, la comédienne et chanteuse ouvre sans mal son coeur pour parler de son époux, le cinéaste Roman Polanski, de ses enfants et de ses choix de vie. Une interview qu'elle livre au magazine Paris Match.
A l'affiche de la pièce de théâtre d'Harold Pinter, Le Retour, Emmanuelle Seigner trouve un peu de temps pour des confidences. Amante d'un Vincent Lindon usé par la vie dans Quelques heures de printemps et mère de famille dans la dernière réalisation de François Ozon, Dans la maison, elle sera fascinante dans L'homme qui rit avec Gérard Depardieu et retrouvera son mari réalisateur dans un projet assez particulier, La Vénus à la fourrure, une comédie érotique avec Louis Garrel. Elle se réjouit d'ailleurs de changer de registre : "Pour une fois, je ne vais pas jouer les femmes mystérieuses."
Emmanuelle Seigner parle carrière, mais aussi de son couple avec Roman Polanski qu'elle a rencontré quand il avait la cinquantaine et "donnait l'impression d'avoir 30 ans". De quoi atténuer la différence d'âge de vingt-trois ans entre eux. Elle ne reviendra pas sur l'épreuve de l'arrestation et l'assignation à résidence de son mari, conséquence d'une affaire de moeurs datant des années 1970. Elle préfère rester toujours positive : "Je n'aime pas qu'on me plaigne, je n'aime pas la déprime. [...] Si j'avais été une sportive, j'aurais pu être une championne, car je pense avoir un excellent mental." Une épreuve qu'elle a su traverser avec ses enfants, Morganie (bientôt 20 ans) et Elvis (14 ans), et qui a renforcé sa relation avec Roman Polanski.
Sa famille, ses proches, voilà ses piliers. Elle qui est très proche de ses soeurs Mathilde, avec qui elle n'a que dix-huit mois d'écart, et Marie-Amélie se retrouve en famille chaque week-end : "Ce clan très soudé est sans aucun doute la source de mon équilibre."
Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le magazine "Paris Match" du 8 novembre
A l'affiche de la pièce de théâtre d'Harold Pinter, Le Retour, Emmanuelle Seigner trouve un peu de temps pour des confidences. Amante d'un Vincent Lindon usé par la vie dans Quelques heures de printemps et mère de famille dans la dernière réalisation de François Ozon, Dans la maison, elle sera fascinante dans L'homme qui rit avec Gérard Depardieu et retrouvera son mari réalisateur dans un projet assez particulier, La Vénus à la fourrure, une comédie érotique avec Louis Garrel. Elle se réjouit d'ailleurs de changer de registre : "Pour une fois, je ne vais pas jouer les femmes mystérieuses."
Emmanuelle Seigner parle carrière, mais aussi de son couple avec Roman Polanski qu'elle a rencontré quand il avait la cinquantaine et "donnait l'impression d'avoir 30 ans". De quoi atténuer la différence d'âge de vingt-trois ans entre eux. Elle ne reviendra pas sur l'épreuve de l'arrestation et l'assignation à résidence de son mari, conséquence d'une affaire de moeurs datant des années 1970. Elle préfère rester toujours positive : "Je n'aime pas qu'on me plaigne, je n'aime pas la déprime. [...] Si j'avais été une sportive, j'aurais pu être une championne, car je pense avoir un excellent mental." Une épreuve qu'elle a su traverser avec ses enfants, Morganie (bientôt 20 ans) et Elvis (14 ans), et qui a renforcé sa relation avec Roman Polanski.
Sa famille, ses proches, voilà ses piliers. Elle qui est très proche de ses soeurs Mathilde, avec qui elle n'a que dix-huit mois d'écart, et Marie-Amélie se retrouve en famille chaque week-end : "Ce clan très soudé est sans aucun doute la source de mon équilibre."
Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le magazine "Paris Match" du 8 novembre