L'affaire secoue tout un empire depuis plusieurs semaines. Stéphane Plaza, agent immobilier préféré du PAF et star d'M6, est visé depuis le début du mois d'octobre par une enquête pour violences conjugales. Trois de ses anciennes compagnes - dont deux ont porté plainte - dépeignaient un portrait peu glorieux de l'animateur préféré des Français, affirmant avoir été victimes de violences verbales et physiques pour certaines de sa part. Si pour l'heure, l'enquête poursuit son cours pour faire toute la vérité sur cette affaire, les trois jeunes femmes accusant Stéphane Plaza auraient eu recours à des méthodes discutables pour obtenir des témoignages.
Selon nos informations exclusives, les deux plaignantes et la troisième - qui n'a pas voulu porter plainte - sont entrées en contact il y a plusieurs mois avec des personnes ayant côtoyé Stéphane Plaza. Et ce, bien avant que l'animateur ne dépose plainte lui-même pour harcèlement et cyber-harcèlement contre celles qui l'accusent de violences. Deux femmes - anciennes collaboratrices ou amies - affirment qu'elles ont été "harcelées" par le trio afin d'obtenir leurs témoignages, chose qu'elles ont refusé de faire, puisqu'elles n'avaient rien à lui reprocher !
L'une d'elles aurait même reçu "une centaine de messages." Une des deux femmes victime des accusatrices a d'ailleurs porté plainte ce 27 octobre, pour harcèlement et cyber-harcèlement. Bien qu'elles se soient cachées sous des faux profils et alors que les trois accusatrices ne sont connues que sous leurs pseudo, elles auraient été identifiées par les propos tenus... La plainte a été portée contre X, mais elle sont visées nommément.
La seconde plaignante portera plainte la semaine prochaine.
Les méthodes employées par les accusatrices font l'objet d'observations depuis plusieurs jours. Ce jeudi 26 octobre sur le plateau de TPMP, une ex de Stéphane Plaza témoignait de manière anonyme, affirmant avoir été contactée par les accusatrices en question. Elle n'a pas caché avoir décelé une "petite rancune" chez chacune d'elle, allant jusqu'à évoquer une "ligue des femmes" contre lui : "Je ne voulais pas me liguer à leur cause, et je n'avais aucune raison de le faire, c'était un peu de l'acharnement", déclarait-elle. Des SMS échangés entre les trois femmes avaient également été dévoilés, soulignant leur détermination : "Je n'ai pas du tout peur moi, si ça part en couilles, c'est lui qui va perdre, car c'est lui qui est connu, pas moi, et j'ai trouvé une association qui paie les frais de l'avocat."
Depuis les accusations, Stéphane Plaza n'a donné suite à aucune sollicitation. Un silence loin d'être un aveu selon son avocate, maître Hélène Plumet : "Il est très affecté. Aujourd'hui, son nom est sali et son réseau est attaqué alors qu'il n'a commis aucun crime, ni aucune violence", lisait-on dans un communiqué lu dans Touche pas à mon poste. "Les enquêtes internes ont conclu qu'aucun acte de sa part ne pouvait s'apparenter de près ou de loin à de la violence morale ou physique." Un discours tenu également par Karine Le Marchand et Eric Antoine qui affirmaient tous deux n'avoir jamais vu Stéphane Plaza violent avec quiconque. L'animateur avait porté, dès le mois de juin 2023, plainte au pénal pour harcèlement et cyber harcèlement.
Affaire à suivre...