Les enfants de stars jouissent d'une cote à la hausse sur la planète Mode ! Un phénomène notamment illustré par Kendall Jenner (fille de Kris et Bruce Jenner), Kaia Gerber (fille de Cindy Crawford) ou Romeo Beckham (fils de David et Victoria Beckham). Ajoutez à cette liste le nom d'Ilona Smet. Adoubée "it-girl" par Vogue.com, l'adolescente de 20 ans se confie et pose pour le magazine La Parisienne...
Elle exerce le métier de mannequin depuis peu, et ajoute à son petit book une nouvelle parution presse ! Ilona Smet figure sur celle du nouveau numéro de La Parisienne, supplément gratuit et féminin du quotidien Le Parisien. La fille d'Estelle Lefébure et David Hallyday a été photographiée par Rodolphe Baras. En posant en une de La Parisienne, Ilona succède à l'actrice Valérie Lemercier, au top model Kate Moss, à l'actrice Inès Sastre ainsi qu'à sa mère, visage du La Parisienne du mois de mars.
"Je suis attirée par [le mannequinat] depuis longtemps, sans doute parce que j'ai vu ma mère travailler... Elle m'a mis en garde car j'ai tendance à être naïve, et il faut malheureusement se méfier de certaines personnes qui gravitent dans ce monde", déclare Ilona Smet dans son interview. La jolie blonde ajoute, toujours concernant ses parents et la nouvelle vie d'enfant de star-mannequin qu'elle entame : "Si ma mère est inquiète, elle ne me le fait pas sentir. Elle est très positive. Elle participe à distance, j'aime bien lui montrer les photos après une séance pour qu'elle voit mon travail... Mon père est très protecteur, et il n'avait pas envie que je sois exposée si tôt. J'ai été assez cachée et préservée durant mon enfance, donc il était un peu inquiet. Mais il est aussi très rassurant vis-à-vis de mes choix, et me dit de ne pas avoir de regrets dans la vie."
Parents, mais aussi grands-parents (que sont Johnny Hallyday et Sylvie Vartan) : Ilona et sa petite soeur Emma (18 ans) ont vécu au sein d'une famille célèbre. Contrairement à d'autres, l'expérience ne les a pas traumatisée ni conditionnée. Bien au contraire : "J'avais bien sûr conscience que ma famille était connue. Avec ma petite soeur, on en riait car on trouvait ça drôle, tous ces gens qui voulaient se faire prendre en photo avec nos parents ou nos grands-parents. Quand mon père et ma mère se faisaient photographier, on ne devait pas se montrer. Du coup, nous n'avons absolument pas souffert de leur notoriété, nous la vivions comme un jeu."
L'égérie de Zapa et admiratrice de l'actrice et James Bond Girl Léa Seydoux confie également être très proche et complice de sa grand-mère Sylvie Vartant : "Je réalise à quel point j'ai de la chance d'avoir une telle relation avec elle." Mais pas question pour elle de suivre ses illustres traces en se lançant dans la chanson, elle avoue ne pas avoir de don du tout ! Ce qui lui plairait ? "J'ai très envie de jouer." Faire du cinéma l'intéresse et elle citera François Ozon et Luc Besson comme cinéastes qu'elle adore.
La Parisienne de novembre 2015 est actuellement en kiosques avec Le Parisien du samedi 7 novembre.
Igor N'Ko.