Inés Sastre, maman aimante mais stricte : ''Je ne laisse rien passer''

Figure inoubliable du parfum Trésor et héroïne de Vidocq avec Guillaume Canet et Gérard Depardieu, Inés Sastre est une actrice et mannequin discrète. La belle Espagnole s'est faite rare ces dernières années pour se consacrer à son enfant, Diego, bientôt 7 ans, qu'elle a eu avec l'homme d'affaires Alexandro Corrias, dont elle est séparée depuis et qui vit actuellement en France. Pour le magazine Gala, elle se confie sur son rôle de mère et parle de ses engagements précieux.

Ambassadrice pour l'Unicef, marraine de PremUp, une fondation qui vient en aide aux familles confrontées à la prématurité d'un bébé - Diego est né prématurément -, elle est désormais le visage de l'action de la maison horlogère Frédérique Constant. Cette dernière est partenaire de la Fédération mondiale du coeur. Les maladies cardiaques sont un sujet très important pour Inés Sastre : "Quand on parle de grossesse et de prématurité, on ne peut pas faire l'impasse sur les maladies cardiaques dont beaucoup de femmes souffrent, parfois sans le savoir."

A l'aube de ses 40 ans, Inés Sastre est une femme heureuse, qui possède une hygiène de vie irréprochable : du sport - comme le golf - et une alimentation saine sont les secrets de son allure rayonnante. Son énergie, elle en utilise une bonne partie pour son fils. Marquée par son accouchement difficile et la naissance délicate de son enfant, elle n'a pas voulu "rater des étapes de sa petite enfance" (Journal du dimanche), ce qui explique pourquoi elle s'est éloignée de son milieu professionnel pour élever son enfant.

Maintenant qu'il a grandi, elle se voit reprendre le chemin des tournages : "J'ai à nouveau des projets au cinéma." Cependant, elle ne souhaite pas trop faire voyager Diego avec elle : "Il est important pour les enfants de disposer d'un cadre, d'un rythme." La belle Inés se décrit comme une mère "aimante, mais stricte" : "La discipline est nécessaire, je ne laisse rien passer." Quant au caractère de son fils : "C'est le meilleur ! En toute objectivité évidemment... C'est un enfant doux et facile, il a un bon tempérament. Il est sportif. Il joue au rugby au Stade Français. Il fait aussi du judo et il me suit parfois au golf. Mais je ne veux pas le dégoûter, je ne le force pas. A l'école, tout va bien. Il a un an d'avance et rentrera en septembre en 9e [CE2]."

Très loquace sur son fils, elle le sera beaucoup moins concernantJean-Luc Delarue et notamment sa disparition en août dernier, lui qui fut son compagnon il y a trois ans : "Je n'ai pas voulu m'exprimer quand c'est arrivé et je ne souhaite pas davantage le faire aujourd'hui."

Retrouvez l'intégralité de l'entretien dans le magazine Gala du 10 juillet